Perle de lumière
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 mythes et légendes

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MessageSujet: mythes et légendes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 17:31

ciel et mythologie


Le ciel étoilé des astronomes est découpé en 88 constellations. Images ou dessins imaginaires élaborés à l'aide des étoiles les plus brillantes, les constellations sont à la base de la géographie céleste. Ainsi, celui ou celle qui souhaite s'initier à l'observation du ciel étoilé et en devoir de reconnaître ces antiques tracés que les anciens placèrent haut dans le ciel.
Dans sa globalité, les constellations des cartes célestes modernes, empruntent leurs noms et leurs tracés aux "histoires" issues de la mythologie grecque, mythologie qui fut aussi reprise par les romains. N'oublions pas que les planètes empruntent elles aussi leurs noms aux dieux et déesses de cette mythologie

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LES DIEUX PLANETAIRES

LE SOLEIL ET LA LUNE


Les enfants d'Hypérion, Hélios et Séléné (frère et soeur) étaient très jalousés des Titans, dès lors, ces derniers décidèrent de tuer Hypérion et de noyer ses enfants. C'est ainsi qu'Hélios fut noyé, mais les Dieux compatissants, donnèrent son nom au "Feu sacré du Ciel". Quand Séléné appris la mort de son frère, elle se suicida; là encore les Dieux intervinrent en la changeant en astre et en la plaçant dans le ciel.
C'est ainsi que le frère et la soeur se retrouvent régulièrement dans le ciel lors des fameuses éclipses, don des Dieux compatissants.
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MERCURE

Ce Dieu Romain connu sous le nom d'Hermès chez les Grecs, était le Dieu du commerce, des voleurs, des voyageurs et aussi le messager des Dieux de l'Olympe. Etant le symbole du mouvement, de la rapidité et des petits déplacements, on l'a donc tout de suite assimilé à la petite planète qui tourne si vite autour du Soleil.

VENUS

Déesse de la beauté et de l'amour; d'origine céleste et marine à la fois, la femme de Vulcain (Dieu du feu) , le trompa avec Mars dont elle eut un fils: Cupidon.
Le Soleil découvrit cette liaison et s'empressa d'aller prévenir le mari trompé. Celui-ci prit les autres Dieux à témoin du crime des deux amants. Vénus se vengea de la traitrise du Soleil en le rendant malheureux en amour et en le maudissant jusque dans sa descendance.
C'est pour cela qu'on voit la planète Vénus, tantôt poursuivre le Soleil, tantôt s'enfuir devant lui.

MARS

A l'origine, Mars était le génie protecteur de la nature, plus précisément, en rapport avec le printemps, moment où la végétation subit une impulsion et une montée de sève débordante; c'est ainsi que Mars est aussi le symbole de la virilité, de l'amant. Puis plus tard, Mars fut vénéré comme le dieu de la guerre: en effet, Homère raconte dans l'Iliade, que Jupiter ( maître de l'Olympe) lui reprochait de trop affectionner la discorde, les combats et la guerre: en bref la violence.
La planète Mars étant rouge, comme la couleur symbolisant la violence, il fut évident de lui attribuer le nom du Dieu de la guerre.

JUPITER

Jupiter (ou Zeus) est le père et le maître des Dieux. Il est aussi le dieu du ciel, de la lumière diurne, du temps qu'il fait, ainsi que de la foudre et du tonnerre. Symbole de majesté, de grandeur, d'autorité et de puissance, il était normal de donner son nom à la plus imposante des planètes de notre système solaire.

SATURNE

Très ancienne divinité du ciel, fils d'Ouranos et de Gaïa, père de Jupiter. Il mangeait ses enfants, car on lui avait prédit que son fils le détrônerait comme lui même avait détrôné son père. Mais sa femme "Rhéa", folle de douleur, remplaça son dernier né par une pierre entourée d'un lange, sauvant ainsi Jupiter. Saturne symbolise le temps dans sa notion de durée.

URANUS

Alors que le chaos régnait dans l'Univers, Uranus fut chargé de remettre un peu d'ordre. Possédant tous les secrets du cosmos, il établit ainsi toutes les lois régissant la matière. Il créa donc le feu, l'eau, l'air et bien entendu la Terre. Avec sa femme, Gaïa, il eut de nombreux fils: les Titans. Ceux-ci se mirent à créer les dinosaures et toute la végétation monstrueuse de cette époque. Uranus voyant ce que ses fils faisaient de la Terre, déclencha un effroyable cataclysme pour effacer la création de ses enfants. Puis, après avoir remis de l'ordre dans "la création", il créa l'Homme. Puis il enseigna à ce dernier les connaissances nécessaires à l'agriculture: c'est ainsi que l'Homme apprit le calendrier zodiacal : afin de déterminer le temps et les saisons et de connaitre les bons moments pour le semis et la récolte. La couleur symbolique de la nature étant le vert, et la planète Uranus étant elle-même verte, voilà pourquoi elle porte ce nom.

NEPTUNE

Il fut dévoré par son père Saturne, mais son frère Jupiter le sauva. Après avoir détrôné leur père, Jupiter partagea l'Univers: il s'octroya le Ciel et la Terre, ainsi Neptune se vit confier l'empire des océans. Ce Dieu de la mer est représenté chevauchant les vagues sur son char attelé de chevaux des mers et armé de son trident.

PLUTON

Encore un frère de Jupiter et de Neptune, qui se vit confier le royaume des enfers et de la mort. Son domaine était au centre de la Terre, et l'entrée gardée par le chien "Cerbère". Le parallèle entre la mort et le froid, a donné son nom à Pluton, car son loignement par rapport au Soleil, fait que c'est un astre où règne le froid et l'obscurité.

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CONSTELLATIONS ET LEGENDES

ANDROMEDE,CEPHEE,CASSIOPEE,PERSEE,PEGASE ET LA BALEINE

La superbe fille de Céphée et de Casiopée: Andromède, était jalousée des Néréides. Ces dernières, voulant se venger, demandèrent à Poséidon d'envoyer le monstre Cétus (la Baleine) ravager le royaume de Céphée. Ce dernier afin d'apaiser la colère de Poséidon, n'avait d'autre choix que de sacrifier Andromède en l'attachant à un rocher au bord de l'eau. Mais Persée, amoureux de la belle, tua le monstre et la sauva en s'enfuyant sur le dos du cheval ailé Pégase.

ORION, LE GRAND ET LE PETIT CHIEN

Ce fils de Neptune, était un grand chasseur, qu'on voit encore dans le ciel muni de son arc, de son baudrier et de son épée. Un jour il se venta de pouvoir tuer tous les animaux de la création, mais Gaïa, déesse de la Terre, envoya aussitôt le Scorpion pour le tuer.

LA VOIE LACTEE, LE CYGNE, HERCULE ET LE DRAGON

Il existe deux principales légendes pour expliquer l'origine de la Voie Lactée :

La première fait référence à la trace laissée par un incendie qui subsiste dans le Ciel et qui constitue la Voie lactée. Cet incendie fut provoqué par Phatéon qui un jour emprunta le chariot de feu de son père Hélios, afin de prouver à tous ses origines divines. Mais pendant sa démonstration, il mis le feu sur la Terre ainsi qu'à la voûte céleste. Zeus, très fâché, le précipita dans l'Eridan après l'avoir foudroyé. Mais Cnidus, ami de Phaéton, supplia Zeus de lui pardonner et de le sauver. Alors Zeus plaça Cnidus dans la Voie Lactée, comme symbole de l'amitié fidèle. On peut encore le voir sous la forme de la constellation du Cygne dans les vestiges de l'incendie provoqués par son ami Phaéton. On dit aussi que Cygnus tait un héros Troyen tué par Achille et transformé en un Cygne blanc par son père Poséidon et placé dans le Ciel.

La deuxième version fait appel au demi-Dieu Hercule. En effet, un jour qu'il était enfant, ce dernier fut placé sur le sein d'Héra endormie. Malheureusement, Hercule ne domptant pas encore sa force, voulu se nourrir au sein de la Déesse, mais il tira si fort que le lait gicla et se répandit en une grande traînée laiteuse dans le ciel: la fameuse Voie Lactée. Pour en revenir à Hercule, on sait qu'il tua, lors de ses fameux douze travaux, le Dragon du jardin des Hespérides. Junon en mémoire du gardien de son merveilleux jardin au pommes d'or, le plaça dans le ciel sous la forme de la constellation du même nom.

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LA LYRE

Cette constellation proche de celle du Cygne, a été placée dans le ciel par Apollon, Dieu de la Musique, en souvenir d'Orphée qui avait amélioré l'instrument inventé par Mercure. Ce dernier l'avait fabriqué dans une écaille de tortue. Orphée s'en servi pour soutenir le rythme des rameurs lors de l'expédition de Jason et les Argonautes.

LE DAUPHIN

Arix, poète et musicien, se jeta à la mer pour fuir l'équipage rebelle de son bateau. Un dauphin attiré par les sons de sa lyre, le sauva et l'emmena en lieu sûr. Ce Dauphin brille dans le ciel en hommage à son amitié envers l'homme.

LE LIEVRE

Cette constellation a hérité de ce nom, car elle à la même forme que l'île de Sicile qui était dévastée par les lièvres; On dit qu'ils furent tous chassé par Orion.

LA CHEVELURE DE BERENICE

Bérénice, épouse de Ptolémé III, fit le voeux d'offrir sa chevelure à Isis si son mari revenait indemne de la guerre. C'est ainsi que les Dieux Egyptiens, pour admirer à loisir la splendide chevelure, la transformèrent en cascade d'étoiles et la placèrent dans le ciel.

LA COURONNE BOREALE

Ariane, abandonnée par Thésée, alors qu'elle l'avait sauvé du labyrinthe, pleurait toutes les larmes de son corps. Bacchus, ému, lui offrit un sublime diadème. A la mort d'Ariane, cette couronne fut conservée dans le ciel. Plus tard, les pierres précieuses furent transformées en étoiles et la plus belle et la plus brillante fut baptisé: "La Perle".

LA GRANDE OURSE, LA PETITE OURSE ET LE BOUVIER

Callisto, compagne d'Artémis, tait vouée à la virginité et passait son temps à se promener dans les bois. Un jour Zeus, épris d'elle, prit les traits d'Artémis et lui fit un enfant: ainsi naquit Arcas. Héra, épouse de Zeus, folle de jalousie, transforma Callisto en Ourse. Arcas, devenu grand, un jour qu'il chassait, pris une ourse comme proie ne sachant pas qu'elle était sa mère; il l'aurait tuée, si Zeus n'avait pas transporté Callisto dans les cieux: ainsi elle devint la constellation de la Grande Ourse. Pour le devenir d'Arcas il y a deux versions: la première raconte que lui aussi fut transformé en ourse et devint ainsi la Petite Ourse une fois aux côtés de sa mère dans le ciel. La deuxième version, dit qu'il fut transformé en l'étoile la plus brillante de la constellation du Bouvier, à laquelle il donna son nom: Arcturus, afin qu'il puisse veiller pour l'éternité sur sa mère

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LES GEMEAUX : CASTOR ET POLLUX

Castor (le cavalier) et Pollux (le lutteur) frères jumeaux inséparables issus de deux grands oeufs, furent transformés en étoiles après leur mort par leur père, Zeus, car ils en avaient fait le voeu. Ainsi pour l'éternité, les deux jumeaux sont côte à côte, inséparables, et forment la constellation des Gémeaux.

LE BELIER

Première des constellations à former le Zodiaque, on dit qu'elle est Le Bélier à la toison d'or immolé à Jupiter et transporté au firmament.

LE TAUREAU

D'après les légendes, ce serait Io ou Europe que Jupiter aurait envoyée dans le ciel après l'avoir transformée en Génisse.

LE CANCER

Junon plaça cette écrevisse dans le ciel, après qu'elle fut tuée par Hercule.

LE LION

Cette constellation représente le Lion qu'Hercule étouffa dans la forêt de Némée.

LA BALANCE

Constellation qui représente la Balance de la justice ou d'Astrée.

LE SAGITTAIRE

Représente le fameux chasseur Chiron qui était un Centaure. Les Muses firent le souhait qu'il soit placé dans le ciel après sa mort.

LE CAPRICORNE

C'est la fameuse chèvre Amalthée, laquelle allaita Jupiter. Elle est au rang des astres avec ses deux chevreaux.

LE VERSEAU

En latin Aquarius : c'est Ganymède enlevé au ciel par Jupiter.

LES POISSONS

Les deux poissons auraient sauvé Vénus et son fils Cupidon, de la persécution du géant Typhon. C'est pour cet acte qu'ils furent placés dans le ciel
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MessageSujet: licorne ou pégase   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 17:47

Le symbole de la licorne et du pégase

La licorne est le symbole de la pureté,

de la force et de la beauté.

Le pégase, quand à lui, est symbole de liberté,

d'indépendance et de vitalité.

Tous les deux réunis forment un cheval magique,

remplit d'espoir et de gaité.

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Légende de la licorne

La légende de la licorne est connue du monde entier! On dit que le célèbre Noé a oublié la licorne et qu'elle s'est noyée.

Mais il y a des tas d'autres légendes.

De plus, la licorne est un mythe grec des plus importants! Elle était la monture des dieux. La légende dit qu'il existait des troupeaux de licornes qui vivaient dans la forêt enchantée.

Parfois, certaines étaient domestiquées par des princesses ou des fées. Cependant, ces dernières n'enfermaient jamais leur monture de peur qu'elle se laisse mourrir de tristesse.

Notre image de la licorne est généralement celle-ci: La belle princesse chevauchant une jolie licorne blanche à la crinière longue et bouclée. Pourtant, les licornes peuvent aussi être noires.



La légende du pégase

Dans la mythologie grecque, le pégase est un animal céleste né de la foudre. Il fut domestiqué par le héros Bellerophon.

C'est la déesse Athéna qui lui avait offert le mors.

On dit que les grands héros se promenaient sur des chevaux ailés et celui de Hercule s'appelait Pégase

. Aujourd'hui, on les nomme encore de ce nom.

Les femmes ne montaient pas les pégases.
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MessageSujet: dame blanche de rosemont   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 17:51

La dame blanche du Rosemont


Un jeune homme, en chantant, remontait la vallée de la Rosemontoise. Il passait au pied des ruines du Rosemont lorsqu'il fut accosté par une dame, de blanc vêtue, et suffisamment séduisante pour entraîner sans trop de peine le garçon dans la foret, jusqu'à proximité du vieux château.

Ils s'arrêtèrent devant une petite grille en fer, posée au pied d'un rocher. La dame la toucha : elle tourna, en grinçant, sur ses gonds rouillés. Le jeune homme s'aperçut qu'ils étaient à l'entrée d'un souterrain.
Ils s'y engagèrent, guidés par les lueurs qui brillaient au fond. Ils parvinrent bientôt à une salle voûtée, faiblement éclairée, dans laquelle étaient entassés de nombreux coffres. La dame souleva l'un des couvercles : le coffre était plein de pièces d'or qui luisaient doucement.

Dans un coin de la salle, il vit tout à coup, caché par l'ombre, un monstre horrible, assis sur son derrière et qui, la gueule ouverte, semblait garder ces richesses immenses.
Le garçon n'était point téméraire et tenait à la vie : il détala sans attendre la moindre explication. la dame eut beau l'appeler, le supplier, lui crier des promesses rassurantes, il ne s'arrêta point dans sa course jusqu'à ce qu'il eut retrouvé le chemin de la vallée.

Il raconta son aventure. On lui apprit qu'il avait rencontré la Dame du Rosemont. Cette femme vécut il y a bien longtemps : belle et séduisante, elle fit bien du mal autour d'elle. A force de voler les gens, elle était devenue riche. C'est pour cela qu'à sa mort, elle fut condamnée à rester avec l'affreux démon de la grotte aux trésors.

Mais elle conserve tout de même une chance : tous les cent ans, elle a la possibilité de reprendre sa forme humaine et de revenir sur terre ; si quelqu'un la suit et accepte ses trésors, elle sera délivrée pour toujours.
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MessageSujet: les divers dames blanches   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 17:53

Les dames blanches sont surtout dans les régions germaniques. elles sont des jeunes femmes qui apparaissent aux hommes pour les protéger ou pour annoncer leur mort.

On appelle aussi les dames blanches les fées de Bretagne; elles ont des dons de clairvoyance, manipulatrice des éléments de la nature et prennent la forme qu'elles souhaitent.

Elles se réunissent chaque soir de pleine lune, assistent au repas mais elles disparaissent dès que le premier rayon de soleil fait son apparition...



Il existe aussi les dames blanches maléfiques.

Vers l'an 830, sous le règne de l'empereur Lothaire, il y eut beaucoup d'apparitions de spectres: les dames blanches... Elles habitaient dans des grottes souterraines et leurs plaisirs était d'effrayer les gens; voyageurs, femmes, enfants, bergers etc...
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MessageSujet: Légendes amérindiennes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 18:04

Légendes amérindiennes


Origine des sucres
Bien avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord, les tribus amérindiennes de l'est du Canada et du nord-est des États-Unis auraient découvert comment recueillir la sève des érables et la transformer en sirop.

image 1

Certains racontent que les chiens des Amérindiens, par leur comportement, auraient mis la puce à l'oreille de leurs maîtres: une branche s'était cassée et les chiens se bousculaient tout autour pour lécher la sève qui coulait, et c'est ainsi que les Amérindiens eurent l'idée d'y goûter.

image 2

Une autre version indique qu'un petit écureuil grimpa le long d'un tronc d'arbre et mordit une branche... et se mit à boire. Un Amérindien au bas de l'arbre le regardait et se demandait pourquoi, puisqu'une source d'eau fraîche coulait tout près. Il imita l'écureuil en faisant une fente de son couteau... quelle surprise! Jusqu'alors, sa tribu ne trouvait du sucre que dans les fruits sauvages. Et voilà un arbre qui pleure du sucre en larmes de cristal. En plus, il venait de découvrir un remède contre le scorbut dont les siens souffraient souvent au printemps. Tout ça parce qu'il avait regardé et imité un écureuil se désaltérer avec la sève d'un érable...

Marie-Victorin, grand naturaliste et savant québécois, auteur illustre de la Flore laurentienne, affirme carrément que les Amérindiens apprirent de l'écureuil roux l'existence du sirop et de la tire d'érable. En effet, lorsque qu'une branche d'érable à sucre casse sous le poids du verglas, la blessure causée coule au printemps. De cette entaille naturelle, la sève suit toujours le même trajet, parfois même jusqu'au pied de l'arbre. Jour après jour, le chaud soleil printanier évapore l'eau et il ne reste finalement qu'une traînée de tire d'érable que les écureuils roux lèchent goulûment.

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Micmac
Par une journée de tôt printemps, alors que le vent était encore frisquet, une vieille femme Micmac alla ramasser la sève des érables et, comme elle goûte meilleure chaude, elle en mit dans un pot qu'elle plaça au-dessus de son feu de teepee. Fatiguée, elle alla s'étendre pour se reposer. Lorsqu'elle se réveilla, le soir était déjà là. Dans le pot, elle trouva un sirop doré, clair et sucré.


Algonquin
Le chef prit son tomahawk de l'érable dans lequel il l'avait enfoncé la veille. Comme le soleil montait dans le ciel, la sève se mit à couler. Sa femme la goûta et la trouva bonne. Elle s'en servit pour cuire la viande: ce qui lui évita d'aller à la source pour chercher de l'eau. Le goût sucré et l'odeur douce furent très appréciés par le chef. Il appela le sirop dans lequel avait bouilli la viande, Sinzibuckwud, mot algonquin qui veut dire "tiré des arbres".


Iroquois
Par un matin froid et piquant, il y a fort longtemps, un chef iroquois du nom de Woksis sortit de sa hutte. Puisqu'il devait aller à la chasse, il retira son tomahawk de l'érable dans lequel il l'avait plantée la veille au soir. Le tomahawk avait fait une profonde entaille dans l'arbre mais Woksis n'y fit pas attention. Il partit chasser.

Un récipient en écorce de bouleau était posé au pied de l'érable. Goutte à goutte, la sève qui ressemblait à de l'eau s'écoula de l'entaille faite dans le tronc de l'érable et remplit le récipient.

Le lendemain, la femme de Woksis remarqua que le récipient était plein. Pensant que la sève incolore était de l'eau, elle s'en servit pour faire un ragoût de gibier.

Le soir venu, au souper, Woksis sourit et dit à sa femme: "Ce ragoût est délicieux. Il a un goût sucré."

N'y comprenant rien, la femme trempa son doigt dans le ragoût qui avait mijoté tout l'après-midi. Woksis avait raison: le ragoût était sucré. On venait de découvrir le sirop d'érable!


Légende de Nokomis (La terre)
Nokomis, grand-mère de Manabush et héros de nombreuses légendes indiennes, aurait été la première à percer des trous dans le tronc des érables et à en recueillir la sève. Manabush, constatant que la sève est un sirop prêt à manger, dit à sa grand-mère Nokomis: "Grand-mère, il n'est pas bon que les arbres produisent du sucre aussi facilement. Si les hommes peuvent ainsi sans effort recueillir du sucre, ils ne tarderont pas à devenir paresseux. Il faut tâcher de les faire travailler. Avant qu'ils puissent déguster ce sirop exquis, il serait bon que les hommes soient obligés de fendre du bois, et de passer des nuits à surveiller la cuisson du sirop." Craignant que Nokomis ne l'écoute pas, Manabush grimpa au haut d'un érable avec un vaisseau rempli d'eau et versa le contenu à l'intérieur de l'arbre. Le sucre se dissout et l'on dut travailler dur désormais pour se procurer du sirop.


Le dieu Nanabozho
Il y a bien longtemps, du sirop pur, comme celui dont on arrose ses crêpes, coulait des érables. Lorsque le dieu Nanabozho y goûta, il le trouva tellement bon qu'il se dit que les habitants de la Terre n'apprécieraient pas ce sirop s'ils pouvaient se le procurer aussi facilement. Nanabozho ajouta donc de l'eau à l'épais sirop fourni par l'arbre, tellement d'eau que le liquide finit par ressembler à de l'eau sucrée. Il dissimula ensuite cette sève au plus profond de l'arbre. Depuis ce temps-là, les hommes doivent travailler fort pour obtenir du sirop d'érable.
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MessageSujet: légendes quebecoise   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 18:19

la tour de trafalgar

À Montréal, dans le quartier de la Côte des Neiges, existe une petite tour appelée la tour de Trafalgar. Cette tour n'a pas très bonne réputation.

On raconte que plusieurs personnes l'ayant visitée y étaient revenues en affirmant y avoir vu d'étranges phénomènes : du sang sur les murs, une main fantomatique semblait vouloir les étrangler, des bruits de pas qui résonnaient sur le sol lorsqu'ils s'enfuyaient du lieu etc...
Georges Boucher de Boucherville* publia, en 1835, une étrange histoire. A-t-il vraiment vécu ce qu'il nous raconte ou n'est-il pas plutôt l'initiateur de cette légende ?

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Léocadie, jeune et jolie brunette de 17 ans, vivait avec sa tante dans le quartier de la Côte des Neiges. Une figure douce et spirituelle, des manières agréables et une assez jolie fortune, faisait d'elle le meilleur parti de son quartier. Fiancée à Joseph dont elle était profondément amoureuse, elle n'attendait que le jour béni où tous les deux seraient enfin unis par les liens indissolubles du mariage.
Un jour que Léocadie venait d'aller à l'église y faire ses dévotions, un jeune homme entra, non pas tant pour y prier Dieu mais, pour y admirer l'intérieur de l'édifice. Il vit la jeune fille traversant la nef d'un pas léger pour sortir du temple. Il conçut pour elle un amour fort, violent et passionné. Après avoir fréquenté la jeune fille quelques temps, c'est de la tante de Léocadie que l'étranger apprit que le coeur de la jeune fille était déjà pris. Il jura alors de se venger de celle qu'il avait tant aimée. Il lui lança alors, avant de partir, ces paroles sinistres: "Regarde le soleil, comme il est rouge; il est rouge comme du feu, comme du sang, comme le sang qui doit couler".
La veille de son mariage, Léocadie et son fiancé Joseph, partirent ensemble pour aller se promener à la montagne, et jouir d'une agréable journée printanière. C'est ainsi qu'ils se rendirent jusqu'à la petite tour. Comme ils mettaient les pieds sur le seuil de la porte, un homme, que Léocadie reconnut aussitôt, se précipita, rapide comme la foudre, avec un couteau à la main. Elle jeta un cri, pâlit, et tomba sans connaissance et sans vie aux pieds de son assassin qui l'avait frappée au coeur. Joseph s'élança alors sur lui voulant venger sa bien-aimée ou mourir avec elle. Une lutte violente s'engagea. L'étranger jeta Joseph par terre et un genou sur sa poitrine, le saisit à la gorge et l'étrangla. Le lendemain, on les découvrit tous les deux assassinés. L'étranger fut arrêté, condamné à être exécuté et avoir les bras, jambes, cuisses et reins rompus vifs sur un échafaud qui, fut dressé sur la place du marché de la ville.
La tour de Trafalgar devint alors un lieu maudit. Plusieurs témoins ont affirmé s'y être rendu. Tous ont aperçu du sang sur les murs et sur la porte. Et, chacun jurait que la peur et l'angoisse qu'il ressentait alors, les obligeaient à fuir les lieux. Pire, tous affirmaient qu'ils entendaient des bruits de pas derrière eux lorsque qu'en courant, ils dévalaient la pente du sentier menant à la tour.


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le géant beau pré


À sa naissance, Édouard ressemble à tous les autres enfants. Il pèse 4,09 kilos (9 livres). Il se développera normalement jusqu'à l'âge de trois ans. Puis, il se met à grandir de façon incroyable. On raconte qu'à 9 ans, il mesure 1,80 m (6 pieds), à 12 ans, 1,95 m (6 pieds, 6 pouces) et à 17 ans, 2,27 m (7 pieds, 7 pouces). Il devait atteindre, à l'âge adulte, 2,45 m (8 pieds, 2 pouces) et peser 160 kilos (350 livres) ! Ajoutons à ce portrait que son visage était déformé à la suite d'un accident subi alors qu'il montait à cheval.

Avec cette taille, il possède aussi, bien sûr, une certaine force physique. Un jour, il lance un défi à un Américain réputé pour sa force. Il attira alors les regards d'un public intéressé aux épreuves de force et curieux de le voir à l'oeuvre. Pour cette occasion, il doit lancer des barils de farine à des dizaines de mètres, et soulever un cheval de plus de 320 kilos.

Édouard aime beaucoup les chevaux, il rêve de devenir cow-boy. C'est ainsi qu'en 1902, il gagne le Montana. Malheureusement, sa taille gigantesque l'empêche de pratiquer ce métier.
Des Américains le découvrent, lui offrent de gagner sa vie dans un cirque.
Sa carrière sera cependant de courte durée. Notre géant est atteint de tuberculose. En effet, il n'a que 23 ans quand il meurt dans un hôpital de Saint-Louis, le 3 juillet 1904. Ses dernières paroles seront: "C'est bien triste de mourir si jeune et si loin de ses chers parents."


C'est alors que commence une véritable épopée. Édouard ne meurt pas très riche, on s'en doute un peu! Comme il ne laisse pas d'argent, il n'est pas question de lui faire des funérailles. Le patron qui l'engageait le fait embaumer. Mais pour récupérer l'argent investi, il décide d'exiber le corps de notre pauvre ami. Il trouve un magasin qui accepte de le garder en vitrine pour le montrer aux passants. La police doit intervenir.
Puis, en 1905, quelqu'un, on ne sait trop qui, fait pétrifier le corps et veut le transporter à Montréal. Il se heurte aux refus des autorités. Le géant Beaupré est alors exposé dans un musée d'anatomie de Saint-Louis, aux États-Unis.
Mais, le corps d'Édouard Beaupré se retrouvera quelques mois plus tard, dans la vitrine d'un musée sur la rue Saint-Laurent, à Montréal !
Pendant six mois, les curieux vont défiler pour contempler ce phénomène.
Puis le corps de Beaupré quitte le musée et on le perd de vue jusqu'au printemps 1907. Des enfants trouve une caisse dans un entrepôt, elle contient le corps du géant. On apprendra que le cirque qui gardait le cadavre pour l'exposer à la vue du public au parc Maisonneuve l'a, un soir, oublié là... tout simplement ! Enfin, un médecin, professeur à l'Université de Montréal, décide d'acheter le corps, qu'il paie 25 dollars. Il le transporte au département d'anatomie où on procède à sa momification, puis on le place debout, dans une cage de verre, à l'entrée d'un laboratoire.
C’est seulement en 1990 que l’Université de Montréal a accepté de retourner les cendres du géant à sa famille à Willow Bunch. Il fut enterré le 7 juillet 1990 devant le musée de Willow Bunch et aux pieds d’une statue érigée en son honneur

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la griffe du diable

C'était l'époque où les femmes, souvent recluses à la maison à cause de leur progéniture nombreuse, avaient peu de divertissements. Le passe-temps préféré était souvent les chicanes de voisins. Comme il n'y avait pas de télévision, pas de radio, c'était désennuyant de se chicaner un peu. Ce n'était pas méchant, mais les gens avaient tendance à se tirailler pour toutes sortes de raisons, ce qui a entraîné bien des procès pour des piquets de clôture.
Et madame Therrien comme madame Comeau (noms fictifs) respectaient bien la tradition...

Un dimanche matin, alors que le reste de la famille était partie à la messe, madame Comeau décida d'aller cueillir des bleuets. Dans cette région les bleuets poussent en abondance et n'ont rien à envier à ceux du Lac Saint-Jean. Elle amena avec elle son bébé de quelques mois qu'elle attacha solidement sur son dos, puis traversa la clôture où les bleuets semblaient plus gros et plus abondants.

Madame Therrien, qui la vit venir, sortit aussitôt et l'invectiva haut et fort:
- Que fais-tu là?
- Je suis venue cueillir des bleuets.
- Mais ils ne sont pas à toi ces bleuets-là!
- Ils sont à moi autant qu'à toi ce sont des bleuets sauvages. C'est le Créateur qui les a mis là.
- Aie! C'est du vol ça! Tu es une maudite voleuse!
Elles commencent à se crier des noms Puis madame Comeau de clôre la discussion en criant:
- Va donc chez le diable!

Apparût alors une créature immonde, ni homme, ni bête.
- Vous m'avez appelé mesdames?

Les deux dames restaient pétrifiées.

Puis, après de longues minutes, madame Comeau réagit enfin et dit à sa voisine.
- Vite, viens t'en ici! Accrochons-nous à mon bébé. Il est pur, lui, et le diable n'a aucune emprise sur lui.

C'est le seul moyen de nous sauver!
Elles ont toutes les deux enserré le bébé dans leurs bras. Comme le diable ne pouvait plus rien faire, il est devenu enragé. Il s'est mis à maugréer, à gesticuler et à griffer le rocher.

Et il y a laissé des traces. Ces mêmes traces qui sont encore visibles aujourd'hui.

Madame Comeau et madame Therrien se sont réconciliées. Elles ont raconté à tout le monde comment elles avaient vaincu le diable. Une grande fête fut organisée où l'on composa un «reel qu'on nomma: «Le reel du diable en maudit d'avoir manqué son coup

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Le Pont de Québec
ou le pont du diable


image 3 pont

Le 29 août 1907, une partie importante du pont en construction s'écroula, tuant d'un coup plus de 75 ouvriers et en blessant plusieurs autres. Le 20 juillet 1916, un autre accident eut lieu. On parle alors de 13 morts. Il semble bien que la construction de ce fameux pont était victime d'un certain maléfice. On décida quand même de poursuivre les travaux car un pont à Québec était nécessaire au transport ferrovière et au développement de la région.

À la reprise des travaux, un ingénieur se présenta au contremaître pour lui proposer ses services. Il promettait un travail sans catastrophe mais à certaines conditions: celui-ci devait entre autres choses, lui promettre que l'âme de la première personne à traverser le pont lui soit remise.

Ébranlé par tout ce qui venait d'arriver, et sans réfléchir, le contremaître accepta.

Les travaux reprirent enfin et tout se passa bien jusqu'au jour de l'inauguration.

Au moment où l'on s'apprêtait à traverser le pont, le contremaître aperçut le fameux ingénieur et lui trouva un air diabolique. Il se rappela alors sa promesse de lui offrir l'âme de la première personne à traverser le pont. Réalisant avec horreur qu'il avait agi sans réfléchir et avant qu'il ne soit trop tard il empoigna un gros chat noir qui se serait malencontreusement trouvé, au mauvais endroit au mauvais moment sur le pont et le lanca sur le faux ingénieur. Tous les deux, l'ingénieur et le chat noir, disparurent. On ne retrouva qu'un petit tas de poils ensanglantés.


Si vous vous rendez à Québec un jour, et que vous souhaitiez traverser le fleuve, il vaudrait peut-être mieux emprunter le pont Pierre-Laporte car il paraît que le diable attend toujours de se venger....
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MessageSujet: la lune   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 18:23

Le 20 juillet 1969, en étant les premiers hommes à marcher sur la Lune, Neil Armstrong et Buzz Aldrin participaient à l'événement le plus important de l'histoire du XXe siècle. Outre le fait que beaucoup y ont vu un moment déterminant de la conquête de l'espace et l'apothéose de la révolution scientifique, la science l'emportait enfin sur les superstitions en prouvant que la Lune, ce corps céleste synonyme de mystère et de magie depuis des millénaires, n'était somme toute qu'un énorme caillou dépourvu de vie.

LES MYTHES ANCIENS

C'est dans la culture occidentale, où on associe depuis longtemps la Lune à certains comportements irrationnels, et surtout à la folie, que ces idées sont les plus fortes. Sans prétendre que le "coup de lune" serait une affection infiniment plus sournoise que le classique coup de soleil, l'astre nocturne est néanmoins suspecté d'affecter l'humeur au sens premier du terme. En témoignent, dans la terminologie, le mot anglais lunatic (fou) et son faux-ami français "lunatique" (d'humeur changeante), tous deux issus du latin. Cet aspect instable est renforcé par sa perpétuelle transformation au fil de son cycle mensuel.

Terrain de jeux du rêveur et chasse gardée du romantique, l'astre de Tanit si cher au poète est pourtant privé de lumière propre et n'existe, à nos yeux, que comme le reflet du Soleil. C'est probablement la raison pour laquelle la première expédition sur la Lune fut nommée Apollo, en référence au dieu grec du soleil Apollon. Peut-être aussi fut-ce pour conjurer l'opposition récurrente du rationalisme et de la logique solaire d'une part, à la folie et à l'intuition associées à la Lune d'autres part...

Il est en effet fréquent de mettre en lice ces deux corps célestes en un combat symbolique censés représenter les côtés rationnels et irrationnels de la nature humaine. Étymologiquement, les anciens dissociaient le Soleil et la Lune, attribuant au premier, des caractéristiques masculines et à la seconde, des caractéristiques féminines. Dans le mode de pensées occidentale, l'homme étant toujours dépeint comme rationnel, et la femme comme plus intuitive ou irrationnelle, beaucoup ont vu dans ce lien un prélude à l'association qui est faite aujourd'hui entre la Lune et l'irrationalité.

LA PORTE DE L'ENFER

Outre Lilith, la première femme d'Adam, représentée comme une Lune noire, symbole des territoires de l'occulte et du vide, la Lune est féminisée dans toutes les représentation.

Ainsi, dans la tradition grecque, plusieurs déesses avaient un aspect lunaire. Hécate, sans doute la divinité la plus sinistre du panthéon grec, symbole du côté sombre de la Lune, était associée au sang, à la sorcellerie et aux enfers. Une autre déesse grecque associée à la Lune, moins angoissante mais non moins meurtrière, était Artémis. Baptisée Diane chez les romains, cette déesse de la chasse et des animaux sauvages s'intéressait surtout au bien être des jeunes filles. Hécate et Artémis sont encore vénérées aujourd'hui en Occident comme des aspects de la "Grande déesse", surtout par ceux qui se font appeler les Wiccas Ils affirment être les héritiers d'une ancienne religion primitive que les Chrétiens considéraient comme de la sorcellerie. Dans le calendrier et la cosmologie Wiccas, la Lune occupe toujours une place prépondérante.

Certains penseurs Wiccas insistent sur le lien qu'il existe entre le cycle lunaire (la pleine Lune apparaît tous les 29,53 jours) et le cycle menstruel (environ 28 jours) pour justifier de la prédominance des déesses dans le culte de cette croyance païenne moderne, que certains qualifie de délibérément féministe.

De tendance New Age, le mouvement Wicca insiste sur les aspects positifs de la déesse Artémis, tout en glissant sur ces caractéristiques plus sinistres : toute féminine qu'elle ait été, Artémis n'en fut pas moins une chasseresse sanguinaire sas pitié pour ses proies. De la même façon, Hécate, personnification de la sagesse féminine, réclamait des sacrifices sanglants. Aussi, malgré les louables efforts des Wiccas, le côté enchanteur et mystérieux de la Lune reste indissociable de sa face ténébreuse.

La nuit de pleine Lune qui suit l'équinoxe d'automne est encore considérée dans de nombreuses traditions nordiques comme la nuit du chasseur.

A cette époque de l'année, la Lune irradie et éclaire la Terre d'une lumière particulière. C'était, pour nos ancêtres, le signal d'une nouvelle période de chasse. Certains auteurs s'étant efforcés d'imaginer le style de vie des premiers hommes, ont établi des liens intrinsèques entre la fécondité, la soif de sang et les cycles lunaire . Pourtant, quelques zoologues invitent à la prudence de jugement en rappelant que les femelles chimpanzés, grands mammifères qui partagent 99% de leurs gènes avec l'espèce humaine, ont un cycle de 32 jours...

Mais l'association la plus connue entre soif de sang et cycle lunaires parvenue jusqu'à nous est la légende du loup garou. Notons que, si la conception de la transformation de l'homme en loup sanguinaire remonte à la nuit des temps, l'idée que la métamorphose soit provoquée par la pleine Lune est une invention récente.

Répondant à l'attente du public américain pour des films d'angoisse, les Studios Universal sortirent avec succès Dracula en 1931 , puis The Mummy (La Momie). Bien inspirée, c'est au même cinéaste, Tod Browing, que la production confia la réalisation du film The Wolf Man (Le Loup garou) qui, en 1941, a mondialement popularisé la mutation de l'homme en loup durant la pleine Lune.

C'est également grâce (ou à cause) de ce film que le loup-garou s'est vu affublé de la capacité à transmettre sa maladie par morsure et qu'il fut associé à la symbolique magique du pentagramme.

LÉGENDE DE LA LUNE

On peut s'interroger sur le fait que l'association entre loup-garou et la Lune (symbole de chasse et du mystère) ne soit pas plus ancienne. Mais, au XVIIe siècle, lorsque l'on prétendait que les loups-garous envahissaient l'Europe, on préféra certainement croire qu'ils étaient les signataires de pactes avec Satan et le fruit d'obscures incantations de magie noire plutôt que les victimes involontaires de cycle lunaire.

Aujourd'hui, les loups-garous ont bien entendu rejoint le peuple des lutins dans les contes et légendes mais il faut croire que le mythe est tenace dans l'inconscient collectif puisque l'on croit encore que la pleine Lune modifie le comportement humain.

Cette conviction s'est révélée suffisamment forte pour pousser certains chercheurs à tenter de trouver une corrélation entre les cycles lunaires et les suicides, les meurtres ou les dépressions nerveuses. Certains intellectuels fantastiques ont même été jusqu'à nommer ce phénomène "l'effet Transylvanie".

DU PSYCHOLOGIQUE AU PHYSIQUE

Mais les résultats de ces études, certes passionnantes, ont été jusqu'à présent peu convaincants. En 1978, un article paru dans The Journal of Clinical Psychiatry (Le Journal de la Psychiatrie clinique) intitulé Agressivité chez l'homme et cycle lunaire synodique a provoqué une volée de réactions en affirmant que "Statistiquement, il y a une augmentation des cas d'homicides et d'agressions au moment de la pleine Lune... On soupçonne l'existence d'un rythme biologique de l'agressivité humaine en résonance avec le cycle lunaire".

Pour les scientifiques américains James Rotton, Roger Culver et Ivan Kelly, une simple "méta-analyse" de la littérature parue sur le sujet les a amené à démentire cette idée toute faite. En 1996, ils ont publié un article dans la revue canadienne Skeptical Inquirer, titré The Moon Was Full and Nothing Happened (La Lune était pleine et il ne s'est rien passé). Selon les auteurs : "Les phases de la Lune ne représenteraient pas plus de trois centièmes de 1 % de la variabilité des comportements qualifiés de "folie", un chiffre trop minime pour être d'une valeur ou d'une signification réelles."

Une réserve confirmée par le spécialiste français en chronobiologie (science de l'étude des rythmes biologiques touchant les processus vitaux d'un organisme vivant), Marc Schwob. Pour l'auteur de l'ouvrage Être au top à chaque heure (Éditions Hachette, 1998), aucune enquête n'a pu clairement confirmer un effet de la Lune et les recherches les plus sérieuses rendent des résultats contradictoires. Il rapporte ainsi les résultats d'une étude américaine paris en 1967 : le suivi des maternités de New York entre 1948 et 1957 a démontré une recrudescence des naissances dans les jours précédents et suivants la pleine Lune. Uns seconde étude menée par le même auteur sur autant de nouveau-nées entre 1961 et 1963 montra une diminution des naissances durant la période de pleine Lune ! Bref, rien de bien concluant.

Concernant le nombre de crimes et le taux de suicides imputables à la pleine Lune, "il y a, selon Marc Schwob, une évidente contradiction entre les statistiques et ce qui est constaté chaque mois à cette période par les professionnels, notamment les policiers et les infirmières d'asiles psychiatriques".

Mais si les nuits de pleines Lune sont redoutées dans les urgences et chez les personnels en charge de psychotiques, comment peut-on expliquer un décalage entre l'observation empirique et les données statistiques officielles ?

Pour la plupart des médecins, les statistiques sont menées sur des périodes trop courtes et sur des éventails de populations insuffisants. Ils assurent qu'il est inconcevable qu'un astre si proche ayant une incidence directe sur les marées ne puisse pas avoir d'influence sur la physiologie de l'être humain.

Quoi qu'il en soit, depuis des temps immémoriaux, en admirant cette splendeur d'argent par une nuit sans nuages, le cartésien même le plus ardent devra reconnaître que la Lune semble nourrir de sombres mystères qui ne se dissiperont peut-être pas au grand jour.

Profitons d'elle car la Lune réclame son indépendance. Des mesures effectuées au laser sur la distance Terre-Lune révèlent que le satellite s'éloigne progressivement de notre planète à raison de 3,8cm par an (soit un éloignement de 10 % de sa distance actuelle au bout d'un milliard d'années). Se sentirait-elle mal-aimée de la Terre ? Certainement pas puisque des milliers d'yeux se sont tournés vers elle lorsque, le 11 août 1999, elle s'est placée dans l'alignement du Soleil pour l'éclipser. La lumière était lunaire et il faisait froid. Effrayante Lune, non ?
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MessageSujet: legende &fantomes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 18:30

Ecosse, patrie des fantômes

Le village de Crawford dans le Lanarkshire semble le parfait endroit pour une halte paisible ou une partie de pêche. Mais c'est aussi un des lieux les plus hantés du pays. Ancienne ville fortifiée romaine, ses anciens envahisseurs ne l'ont pas totalement désertée puisqu'on y a vu un groupe de légionnaires traverser la ville comme s'ils partaient au combat.

Le château de Culzean dans l'Ayshiret.
Bâti à flanc de falaise, le vent et les vagues fouettent ses fondations et les nuits de tempête on entend, sur la propriété, un joueur de cornemuse qui joue également chaque fois qu'un membre de la famille du châtelain va se marier.

Au château de Craignethan on raconte comme d'ailleurs dans beaucoup de forteresses écossaises que le fantôme décapité de Marie Stuart hante toujours les lieux. La reine déchue d'Ecosse y fit halte avant la bataille de Langside en 1568. Mais, plus amusant, dans la période récente on raconte qu'un jour un groupe de touristes fut suivi par un drôle de personnage en costume d'époque, pensant qu'il faisait partie de la visite, personne ne trouva cela extraordinaire jusqu'à ce que ce guide pas ordinaire s'évapore littéralement sous leurs yeux !

Glamis Castle avec ses tours d'angle pointues et sa forme allongée a son histoire émaillée de crimes et de superstitions. La belle Lady Glamis convaincue de sorcellerie y fut condamnée au bûcher, son fantôme surnommé "la Dame Grise" côtoie celui du comte de Crawford qui y joue des parties de carte avec le diable en personne...

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Le général spartiate Pausanias

L'une des plus anciennes histoire de fantôme remonte au Ve siècle avant J.C. et fait état du spectre du général spartiate Pausanias: coupable de trahison, il avait cherché refuge dans un temple d'athena, où on le laissa mourir de faim; son fantôme terrorisa les fidèles fréquentant le temple par des bruits surnaturels, jusqu'à ce qu'un nécromant l'exorcise. Il ne fait aucun doute que certains lieux étaient au IVe siècle avant notre ère clairement répertoriés comme hantés, quand Platon évoquait dans ses écrits "L'âme qui survit au corps". Parfois, note-t-il, l'âme revêt "une enveloppe terrestre qui la rend pesante et visible et la fait descendre jusque dans les régions de la visibilité... Et ainsi ces âmes errantes hantent, comme nous le disons, les tombeaux et les monuments élevés aux morts, auprès desquels on voit parfoit de tels fantômes."

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La maison la plus hantée d'Angleterre...

Le presbytère de Borley, dans l'Essex passa longtemps pour "la maison la plus hantée d'Angleterre", il y abrita le Fantôme d'une religieuse qui y fut assasinée au XVII e Siècle. Il y abrite aussi plusieurs autres fantômes dont celui de son premier vicaire, le révérend Bull. En 1863, à la demande du révérend Henry Bull, l'éminence grise de Borley, on érige sur un terrain attenant à la vieille église du village un nouveau presbytère, une austère demeure de 23 pièces. Des phénomènes étranges s'y produisent. Un soir, peu après y avoir aménagé, l'un des enfants du révérend est giflé au visage par une main invisible. Un autre enfant dira avoir vu un homme habillé «à l'ancienne» qui se tenait debout près de son lit.On y signale aussi un attelage que l'on entend galoper dans l'allée.Le Presbytère brula mystérieusement en 1939 et on retrouva un squelette de femme enterré dans la cave.
Serait -ce celui de la religieuse assasinée ? De l'occupation du révérend Bull jusqu'à la destruction de l'édifice en 1939 - lors d'un spectaculaire incendie -,ce n'est pas moins de 2 000 événements paranormaux qui seront rapportés.La multiplicité et la variété des phénomènes signalés par plusieurs observateurs en faisaient le type même des lieux infestés par les esprits tapageurs, les poltergeist; portes arrachées, volets brisées, lueurs étranges, sons terrifiants, pluies de pierres, déplacements inexplicables des meubles, etc... Harry Price, le célèbre chasseur de fantômes qui avait démasqué tant de faux médiums, élucidé tant de fausses hantises, offrait son propre témoignage, étayé tant de minutieuses constatations; un appareillage moderne avait été employé; enregistreurs caméras, circuit infra-rouge.Bientôt, on accuse le principal enquêteur dans le dossier, Harry Price, d'avoir amplifié les événements insolites du presbytère.
Puis, en 1958, Marianne Foyster, l'un des personnages clés de Borley - dont l'époux y a tenu ministère entre 1930 et 1935 - confie à des chercheurs que toutes ces manifestations n'étaient qu'une mise en scène. C'est elle et son défunt époux qui, affirme-t-elle alors, étaient derrière chaque coup frappé à Borley. Tout ceci est peut être vrai, mais comment expliquer la longue tradition de hantise associée à Borley ? Avant même la construction du presbytère, un sentier menant à l'église était connu sous le nom du «sentier de la nonne», à cause justement du fantôme d'une religieuse qui y avait mainte fois été aperçu. Encore aujourd'hui, on raconte que l'église de Borley est le théâtre de manifestations étranges.


image fantome

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Tout le monde connait le célèbre film "Le projet blair with". Voici la légende :

Elly Kedward, La sorcière de Blair.

Elle habitait dans le village de Blair avant qu'il ne soit abandonné puis rebaptisé Burkittsville. Sur de vrais ou faux témoignages d'enfants, elle est accusée de sorcellerie pour avoir attiré chez elle des enfants pour leur prendre du sang. On ne sait pas si cette accusation est fondée, les enfants on pu vouloir jouer, mais dans ce genre de situation, le village entier a souvent tendance à utiliser le délire inquisitorial pour dénoncer à tout va. Or, ici, une seule accusation fut prononcée. Peut être l'a t-elle réellement fait, il faut rappeler qu'à cette époque, la saignée comme méthode curative avait encore ses adeptes, Elly a pu vouloir guérir des enfants ainsi. Cela expliquerait la mort des enfants par la suite, non pas par la malédiction mais par une maladie qu'elle même a voulu soigner.



On est certain cependant que les habitants du village auront recours à une parodie de procès pour confirmer la culpabilité d'Elly. Elle fut jugée coupable, abandonnée au milieu des bois et attachée à une charrette en février 1785, personne ne la reverra vivante… Toutefois la légende naît au même moment, les enfants meurent et on accuse aussitôt une malédiction lancée par Elly Kedward avant de déserter le village en Novembre 1786. Quelques 23 ans plus tard, on retrouvera un livre, le culte de la Sorcière de Blair qui passe pour être de la propre main d'Elly, elle y fait part de son jugement injuste où l'on recherche les marques du diable sur son corps, raconte aussi les souffrances des villageois persécuté par une femme et un être semblable à un singe à pied de cheval et tête d'homme. On découvre son signe : des poupées de brindilles liées par du tissus, des poils de cochon

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Ce samedi soir de décembre 1979, Michel P. s'en souviendra longtemps. Comme tous ceux qui, sur les routes de France, de Belgique, d'Allemagne, de Suisses, ont eu de la chance - ou la malchance -, de prendre à bord de leur véhicule l'une de ces énigmatiques auto-stoppeuses fantômes.

Il est près de minuit. Michel, de tous les amis qui sortent ensemble ce soir-là, est l'un de ceux ayant un véhicule. Il est chargé de "faire le taxi" entre le centre de Limoges, où il habite, et une boîte de nuit située à quelques kilomètres, sur la route de Naixon. En Haute-Vienne, les hivers sont rudes. C'est dans le frimas et la nuit la plus profonde qu'il effectue son second voyage vers Limoges, quand tout à coup, il aperçoit dans ses phares, à quelques centaines de mètres de la discothèque, une forme blanche plantée dans un virage. C'est une femme de vêtue de blanc. Il s'arrête à sa hauteur, et lui demande où elle va. "A Limoges; si ça ne vous ennuie pas, je vais chez des amis" ; "Où à Limoges ?" demande Michel, "Laissez-moi en ville, je me débrouillerai... " précise la jeune fille. L'auto-stoppeuse s'installe à l'avant. Tout en roulant, Michel la détaille du coin de l'oeil et en silence : 20-25 ans, vêtue d'une robe blanche très années 60, très jolie... mais peu bavarde. A l'approche du pont de la Révolution, la passagère s'anime soudain : "Attention, ce tournant est dangereux !" Michel sourit, car ce virage qu'il négocie avec prudence, il le connaît bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe net sa voiture et, glacé par la peur et la surprise, fait quelques pas autour du véhicule : rien ni personne, sinon du brouillard. La belle inconnue s'est envolée.

A la gendarmerie de Limoges, où il ira faire une déposition, on lui explique qu'il n'est pas le premier à avoir vécu exactement la même aventure... Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet en auto-stoppe, pour disparaître au virage du pont de la Révolution, l'endroit où elle trouva la mort en voiture, 20 ans plutôt. Comme tous ceux qui vécurent l'aventure, Michel peine à se remettre. Plusieurs années après, il n'aime toujours pas en parler. Pourtant, le temps qu'il a passé en compagnie de cet être venu d'ailleurs n'a pas excédé quelques minutes. Mais il est des apparitions plus longues !





AFFAIRES LOCALES

C'est la cas de la "dame blanche" du C.H.U. de Caen (Calvados). Stoppeuse nocturne, elle apparaît toujours aux abords du même abribus, sur la route de Luc-sur-Mer, juste après le centre hospitalier. Le dernier témoin à l'avoir prise en charge l'a décrite comme une jolie jeune femme d'une trentaine d'années, sobrement habillée de blanc et prétendant rentrer chez elle, à Luc. Pendant le trajet de 14 km le long de cette route, la D7, elle conserve toujours le silence. C'est à la traversée du village de Mathieu que la jeune femme se montre fébrile. Puis, à l'entrée de Luc-sur-Mer, la jeune fille s'affole carrément : "Faites attention, le virage est traître !" Tous les témoins déclarent avoir tenté de la calmer. Là encore, au moment où le chauffeur, après avoir négocié son virage, se tourne vers la passagère, il découvre immanquablement un siège vide. Cette affaire, qui se renouvelle régulièrement selon le même scénario, est localement très connue. Et il se trouve qu'une jeune femme fut, en 1970, victime d'un accident de voiture mortel dans ce virage alors qu'elle revenait de Caen.

L'auto-stoppeuse fantôme du carrefour de Balleroy (Calvados) apparaît depuis 1960, année où une jeune fille se tua dans une collision à hauteur de ce très dangereux croisement dit "de l'Embranchement", situé à quelques centaines de mètres du village, au milieu de la forêt de Cerisy. Ce jour-là, on la ramenait en voiture du village. Elle habitait un petit hameau niché dans les bois. Sa vie fut coupée nette, au carrefour par un chauffard qui n'avait pas respecté la signalisation. Depuis, on a eu beau refaire plusieurs fois le carrefour, son âme y semble comme chevillée dans un éternel et triste appel au secours. A Balleroy, plusieurs personnes du village l'ont déjà prise en charge. Elle se manifeste toujours par les nuits pluvieuses, à la sortie du village, levant le pouce en direction du carrefour. Elle est immuablement vêtue de blanc et demande à être déposée à un hameau voisin du carrefour, "là où habite sa mère". Elle parait avoir un peu moins de 20 ans. Invariablement, elle montre des signes d'angoisse et de panique évidents pendant la traversée du carrefour. Mais, l'embranchement passé, elle n'est déjà plus dans la voiture. Sa dernière manifestation a été plus spectaculaire encore que les précédentes. Les deux habitants de Balleroy qui l'ont, cette nuit-là, éclairée de leurs phares l'ont vue non plus inactive, debout sur le bas côté, mais debout au beau milieu de la route. Il leur fallut piler net devant ce qui se révéla être encore la même jeune fille, dont la forme s'évanouit dès les portières ouvertes. A force de n'être pas entendue ou comprise, depuis près de 40 ans, cette dame blanche, dont l'appel confus semble venir d'un monde inconnu, paraît devenir plus véhémente qu'auparavant...





FROIDE COMME DU MARBRE

Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. Ainsi, une auto-stoppeuse fantôme se montre volontiers, de nuit, à la sortie de Château-Bernard (Isère). Voilà plus de trente ans que cette jeune femme se manifeste ainsi, ayant pour caractéristique constante de disparaître lentement sous la forme d'un léger brouillard, et non en une fraction de secondes, comme les autres. En 1960, elle fut prise en stop et disparut à un point précis de la route, toujours après avoir prévenu le conducteur d'un danger. Ce qui poussa celui-ci à se rendre à la gendarmerie, c'est qu'il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant une main sur les jambes et, enhardi par l'absence de réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que sa passagère dégageait un froid semblable à celui du marbre. Confus, il avait attribué à ses avances la disparition soudaine de la voyageuse et venait demander si on l'avait trouvée sur la chaussée. C'est là un cas unique de contact physique avec l'un de ces êtres fantomatiques, mais dont les atomes et les molécules semblent être aussi bien liés entre eux que ceux d'un vivant.

Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture. Ce fut le cas à Chapareillan (Isère). Là, sur la N90, apparaît assez souvent une jeune "dame blanche". Ce soir de 1977, par une pluie violente, c'est un médecin grenoblois qui la prit en charge. Taciturne et très peu loquace jusqu'à un passage délicat de la route, dit Pont-au-Furet, la passagère marqua alors une grande frayeur qui s"estompa avec l'éloignement de l'obstacle. Elle se fit déposer un peu plus loin, devant une maison qu'elle dit être celle de ces parents. Comme il pleuvait toujours des cordes, le médecin lui prêta son parapluie et attendit qu'elle le lui ramène. Il suivit la fille des yeux, la vit franchir la porte d'entrée et la referma derrière elle. Une bonne dizaine de minutes passant, le médecin se décida à aller frapper à la porte de la maison, pensant qu'on l'avait oublié. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit, étonnés d'êtres dérangés à une heure si tardive. On imagine aisément la discussion qui s'ensuivit : la jeune fille décrite avait bien habité là, mais il y a des années qu'elle était enterrée ! C'était leur fille unique, morte dans un accident de moto... au Pont-du-Furet.
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MessageSujet: les sirènes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 19:06

Mythologie et légendes: Le mythe des Sirénes.

Les sirènes:

Ces créatures ensorcellantes ont été décrites la première fois par Homère
dans son Odyssée qui raconte le voyage d'Ulysse.

Le mythe a mûrit mais
l'arme la plus mortelle de ces créatures n'a pas changé, leurs voix sont
envoûtantes et envoient les marins à une mort certaine.



Les sirènes d'Ulysse:

On les a caractérisé à leur création des monstres; au même titre que les
gorgones. Ce ne sont pas des femmes au corps de poisson comme le
décrirent les récits suivants mais des femmes au corps d'aigle, des femmes
oiseau, monstres aux allures vampiriques.



Le mythe évolue:

Il faut attendre le VIIIe siècle et le moine anglais Aldhelm de Malmesbury
pour voir une évolution à ces créatures. Aldhelm emprunte ce mythe aux
croyances babylonniennes.

Il les affuble d'une arme supplémentaire.

Les
sirènes ont toujours le chant envoûtant comme l'avait décrit Homère mais
ce sont devenues des femmes d'une beauté extraordinaire.
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MessageSujet: Re: mythes et légendes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 19:16

Les sirenes

L'origine des sirènes:
Elle n’est pas très claire, selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Acheloos et de la nymphe Calliope (ou de Terpischore, la Muse de la danse), elles auraient été les compagnes de Koré, devenue par la suite Perséphone, et auraient laissé Hadès l'emmener. Elles auraient reçu leur forme comme punition pour ce crime et, par la suite, les Sirènes, disait-on, chantaient prophéties et chansons relatives au royaume d'Hadès.
Les premières sirènes de la mythologie grecque étaient représentées comme des créatures mi-femme, mi-oiseau ; pour expliquer ces formes étranges, on dit qu’Aphrodite leur mit des pattes et des plumes tout en conservant leur visage de jeunes filles parce qu’elles avaient refusé de donner leur virginité à un Dieu ou à un mortel.
Ces divinités, fluviales à l'origine, étaient très fières de leur voix et défièrent les Muses, filles de Zeus et de Mnémosyne. Les Muses remportèrent le défi et exigèrent une couronne faite des plumes des sirènes, ce qui les priva du don de voler. Vaincues, elles se retirèrent sur les côtes d'Italie méridionale. Au nombre de trois, quatre ou huit, selon l’auteur, elles vivaient sur une ou plusieurs petites îles vertes situées à l’ouest de la Sicile : Anthemusa et les îles des Sirènes (selon les Siciliens, près du Cap Péloros, aujourd’hui Faros, tandis que les latins les situent à Capri), se montrant particulièrement redoutables à l’heure de la sieste, par temps calme .
Il se pourrait que l'origine des sirènes se trouve dans les récits des navigateurs, qui les confondaient avec des animaux rares. Leur équivalent masculin est le triton.
D'autres descriptions mettent en scène des sirènes à tête et à buste de femme, avec une queue de poisson : ce sont les nymphes de la mer, filles du dieu de la mer Phorcys. Elles seraient alors aperçues à la surface de l'eau ou bien, assises sur un rocher, elles peigneraient leurs longs cheveux et tiendraient un miroir dans leur main.
Musiciennes dotées d’un talent exceptionnel, elles séduisaient les navigateurs qui, attirés par les accents magiques, de leurs lyres et flûtes et perdaient le sens de l’orientation, fracassant leur bateau sur les récifs où ils étaient dévorés par ces enchanteresses. On leur attribue divers noms : Aglaopé (celle au beau visage), Agalophonos (celle qui a une belle voix), Leucosia (la blanche), Ligéia (celle au cri perçant), Molpé (la musicienne), Parthénopé (celle qui a un visage de jeune fille), Raidné (l’amie du progrès), Télès ( la parfaite), Thelxépéia (l’enchanteresse), Thelxiopé (celle qui persuade).

Les sirènes dans la mythologie:

Les sirènes vivent donc sur leur île, tout près des détroits où sévissent Charybde et Scylla. Leur chant est si mélodieux que le marin qui les entend s'arrête sans pouvoir repartir.
Le sol de l'île est jonché des os blanchis des marins : ce sont leurs victimes, qui ont fait naufrage sur les rochers. Selon une prophétie, si un navire réussissait à longer leur île sans succomber, les Sirènes se précipiteraient dans la mer pour s'y noyer. Ce qui arriva en deux occasions.
La première fois, Jason et les Argonautes, à la recherche de la Toison d’Or, échappèrent au pouvoir des sirènes grâce à Orphée, qui à bord de l'Argo triompha de ces créatures maléfiques en chantant tellement bien qu'il couvrit leurs propres chants ! la conclusion de cette légende varie, il se pourrait que suite à cet échec, les sirènes se soient changées en rochers, ou bien que, vexées par la ruse d'Orphée, elles se soient jetées dans les flots et soient mortes noyées ; seul Boutès les entendit et sauta par-dessus bord. Aphrodite, qui l'aimait, lui sauva la vie. On raconte que l’une d’elle, Parthénopé, se jeta dans la mer de rage et que son corps fut ramené sur la côte par les vagues et que , plus tard, on éleva un monument à l’endroit où fut bâti la ville de Naples.

Dans un passage de l'Odyssée, Homère raconte comment Ulysse arriva à passer sans dommage l'île des sirènes, en suivant les conseils de la magicienne Circé : il dit à ses compagnons de se boucher les oreilles avec de la cire, tandis que lui se faisait attacher au mât de son bateau, mais sans se boucher les oreilles. Il ordonna à ses hommes de ne pas le détacher même s’il les menaçait de mort. Le chant envoûtant éleva :« Viens ici, viens à nous ! Ulysse tant vanté. Arrête ton navire ; viens écouter nos voix. Jamais un noir vaisseau n'a doublé notre cap sans ouïr les doux airs qui sortent de nos lèvres ; puis on s'en va content et plus riche en savoir. » et lorsque Ulysse suppliait ses hommes de le détacher, ceux-ci, au contraire, resserraient ses liens, lui permettant ainsi de passer l’épreuve.
Cette forme composite existait déjà en Egypte où l’âme était symbolisée par un oiseau à tête et pieds humains. Les Germains avaient aussi leurs sirènes engendrées par le malfaisant, les Nixinnes qui enjôlaient les hommes pour les attirer dans les flots afin de satisfaire l’appétit de leur père.

Les sirènes dans l’imaginaire :

Le mythe des sirènes est quasi indestructible, l’iconographie antique les représente comme des femmes à queue de poisson tenant des instruments de musique ou des oiseaux à visage et seins de femme. Sur les monuments funéraires, elles figuraient des anges de la mort chantant au son de la lyre tout en ayant des intentions érotiques à l’égard du héros décédé.
Maints auteurs anciens les ont citées : Aristote, Pline, Ovide…les bestiaires médiévaux les décrivent comme des femmes « de la tête aux cuisses » et poissons de « là jusqu’en bas avec des griffes et des ailes ». Elles ont laissé à la postérité leur image gravée dans la pierre des stèles, tombeaux ou des églises romanes où elles personnifient l’âme des morts comme dans l’Egypte ancienne, on les invoquait au moment de la mort.
Il reste quelques vases grecs qui racontent les aventures d'Ulysse : sur ceux qui sont antérieurs au IIIe siècle avant Jésus Christ, les sirènes apparaissent comme des oiseaux à tête de femme. Par la suite, elles acquièrent des bras, puis une poitrine humaine, attributs peut-être seulement esthétiques, même s'ils constituent des éléments supplémentaires de séduction, puisque les sirènes sont désormais représentées jouant d'un instrument, flûte ou cithare. Ainsi, elles s'humanisent au cours de l'Antiquité pour devenir des femmes ailées chez les Romains et les Etrusques, comme en témoigne la magnifique mosaïque représentant le bateau d'Ulysse, trouvée à Dougga.

Pour les Scandinaves, elle est un monstre redoutable appelé margygr, « géante de mer ». L’œuvre norvégienne le Miroir royal la décrit comme une avenante créature ressemblant à « une femme en haut de la ceinture, car ce monstre avait de gros mamelons sur la poitrine, comme une femme, de longs bras et une longue chevelure, et son cou et sa tête étaient en tout formés comme un être humain (...). Ce monstre paraissait grand, avec un visage terrible, un front pointu, des yeux larges, une grande bouche et des joues ridées. » Au VIIIe siècle, le moine anglais Aldhelm de Malmesbury les décrit comme des vierges à queue de poisson couverte d'écailles. Ces deux représentations vont cohabiter jusqu'au XVe siècle où les sirènes volantes laissent définitivement la place à une jolie femme aux longs cheveux et à queue de poisson. A cette époque, le naturaliste allemand Johannes de Cuba les fait vivre dans des gouffres au fond des mers ; « on les trouve souvent dans les mers et parfois dans les rivières », dit de son côté l'écrivain flamand Jacob Van Maerlant ; en revanche, dans la mythologie grecque, ces démons habitent une île du Ponant près de l'île de la magicienne Circée. Ces filles de la mer traînent une triste réputation de dévoreuses d'homme, attirant leurs victimes par des chants mélodieux ou une apparence séduisante, voire les deux... Ces redoutables séductrices peuvent même être de simples jeunes femmes sans queue de poisson vivant dans la mer. Les Anglais les appellent alors Siren plutôt que Mairmaid.

D'illustres navigateurs ont dit avoir rencontré des sirènes : Christophe Colomb, en 1493, en aurait vu trois près des côtes de Saint- Domingue, « mais elles n'étaient pas aussi belles qu'on les décrit... » Un avis qui n'est pas partagé par les marins d'un navire américain qui ont observé, vers 1850, près des îles Sandwich (Hawaii), une sirène « d'une grande beauté qui ne cédait en rien aux plus belles femmes ». Ces « sirènes » sont certainement des mammifères marins, tels les lamantins et les dugongs, qui vivent dans les eaux peu profondes des archipels, des lagunes et estuaires.
En 1403, près d'Edam en Hollande, un « spécimen » a été capturé par deux jeunes filles. Il s'agissait d'une femme, trouvée nue dans l'eau et ne parlant aucune langue connue, qui fut sur- nommée la sirène d'Edam.

Des pastiches de sirène « desséchées » ont été fabriqués dès le XVIe siècle, et exposés dans les foires et les musées. Mais c'est surtout au XIXe siècle qu'ils ont attiré les foules. Ces monstres hideux étaient fabriqués au Japon, en Inde ou en Chine. Le haut du corps est constitué d'un buste d'orang-outan ou de guenon. La queue est celle d'un gros poisson. Quand au XVIIe siècle, à Leyde, un certain Pavio disséqua une sirène en présence du célèbre médecin Joannes de Laet, apportant un certain crédit scientifique à l'animal fa-buleux. La tête et la poitrine étaient humaines mais, du nombril au pied, l'être était informe et sans queue.

Créée en 1835, par l'écrivain danois Hans Christian Andersen, la légende moderne de la sirène continue de faire des vagues, elle n’est plus la terrible tentatrice mais devient une héroïne romantique, qui cherche l’amour, telle Ondine qui offre son âme à l’homme qui voudra bien l’épouser.
Le dessin animé de Walt Disney, la Petite Sirène (1989), reprend des éléments issus de la culture populaire et du conte d'Andersen. A l'instar d'Ondine, Ariel n'a qu'un désir : troquer sa vilaine queue de poisson contre de belles jambes afin de conquérir le coeur de son prince. Pour réaliser son rêve d'humanité, elle conclut un pacte avec Ursula, la sorcière des mers. La perte de sa voix envoûtante sera le prix à payer. Ariel aura néanmoins plus de chance que sa célèbre sœur littéraire.
Dans ce conte moderne, la sirène épouse son prince, devient une femme épanouie et une mère comblée. Pour le plus grand plaisir des 4 millions de spectateurs français, auxquels s'ajoute le million de foyers rattrapés à leur tour par la version vidéo du film qui se maintient toujours, onze ans après sa sortie, parmi les dix plus grands succès populaires de Disney. Au point que la suite (la Petite Sirène II : Retour à l'océan, qui met en scène Mélodie, la fille d'Ariel et du prince Eric) Mais la version moderne du mythe ne retient que des caractéristiques physiques : chevelure opulente, beauté, voix à laquelle aucun homme ne saurait résister, ainsi qu'un pouvoir de séduction largement exploité par la publicité. oody, un psychiatre américain, a sérieusement étudié le phénomène et a ensuite publié un livre intitulé La Vie Après La Vie. Il contient de nombreux témoignages jugés sérieux par le psychiatre, plusieurs personnes le recommandent... Dans le même domaine mais pas très rationnel (livre de science-fiction) Les Thanatonautes de Bernard Werber.
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MessageSujet: systhème solaire   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 19:54

Parmi les planètes du système solaire, cinq sont connues depuis que l'homme a commencé à étudier le ciel : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne. Elles ont attiré l'attention par leur luminosité et les mouvements qu'elles décrivaient (planète vient du grec planète, vagabonde). Trois autres planètes - Uranus, Neptune et Pluton ont été découvertes après l'invention du télescope. Les astrologues se réjouirent de constater que leurs influences comblaient les lacunes existant dans les interprétations de leurs prédécesseurs

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Le Soleil image1

Au centre du système planétaire dont la Terre fait partie, le Soleil est situé à environ 150 millions de kilomètres de notre planète, sa taille représente 109 globes terrestres.


La Lune image2

Seul satellite naturel de la Terre, la Lune est classée par commodité parmi les planètes. A la différence des vraies planètes, elle décrit une orbite autour de la Terre (en 27 jours, 7 heures, 43 minutes et 2 secondes) ; dans le même temps, la Terre et la Lune ^tournent ensemble autour du Soleil. Eclairée par la lumière du Soleil, la Lune donne l'impression de croître et de décroître. Elle est « nouvelle » quand elle se situe entre la Terre et le Soleil (elle est alors invisible) ; elle est « pleine » quatorze jours et demi plus tard, quand elle est en pleine lumière. Comme la Lune se déplace vers l'est contre le fond des étoiles, elle se lève un peu plus tard chaque nuit (cinquante minutes en moyenne, mais parfois quinze minutes seulement et dans certains cas jusqu'à une heure). Lorsque la Lune est pleine, elle se lève toujours au coucher du Soleil et se couche au moment où le Soleil se lève. Lorsque la Lune passe exactement devant le Soleil, il y a éclipse de Soleil : phénomène spectaculaire auquel les Anciens attachaient une grande importance astrologique.


Mercure image3

C'est la planète située le plus près du Soleil. On la désigne comme une planète « inférieure », c'est à dire dont l'orbite se situe entre celle de la Terre et celle du Soleil. C'est aussi la plus petite des planètes connues (4 880 kilomètres de diamètre seulement). Elle a une année de 88 jours.

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CORPS MINEURS ET CORPS HYPOTHETIQUES
D'innombrables conjectures ont été formulées sur les effets astrologiques éventuels des corps mineurs du système solaire, les astéroïdes, par exemple, qui est plus de 40 000. Le plus gros d'entre eux s'appelle CERES. On a également étudié Vesta, Pallas et Eros, et des éphémérides de leurs mouvements ont été publiées. En 1977, une minuscule planète (482 kilomètres de diamètre seulement) a été découverte entre l'orbite de Saturne et celle d'Uranus mais il n'existe aucune spéculation astrologique sur ses effets possibles.

On a également émis des hypothèses sur Lilith, qui serait un satellite de la Terre et dont la taille correspondrait à un quart de la Lune. Il est d'ailleurs probable que Lilith n'existe même pas : les astrologues du 16e siècle avaient sans doute vu un astéroïde. Les astronomes et les astrologues ont également supposé l'existence d'une planète réelle - parfois appelée Vulcain - qui peut être découverte maintenant dans l'orbite de Mercure.

Elle met à décrire sa trajectoire autour du Soleil. Ainsi, excepté la Lune, c'est le plus rapide des corps célestes utilisés par les astrologues. Ses mouvements sont relativement excentriques quelques fois son orbite l'amène parfois à 47 millions de kilomètres du Soleil et à d'autres moments l'expédie à 70 millions de kilomètres. Néanmoins, vu de la Terre, Mercure semble toujours relativement tourner autour du Soleil, à une orbite qui ne dépasse jamais 27 degrés.

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Vénus image 4

Autre planète « inférieure », Vénus se trouve à 108,2 millions de kilomètres du Soleil ; elle met 225 jours à en faire le tour. Sa distance maximale du Soleil, ne de la Terre, est de 48 degrés : à la différence de Mercure, on peut voir Vénus de nuit.


Mars image 5

C'est la première des planètes dites « supérieures », c'est-à-dire dont l'orbite par rapport au Soleil passe au-delà de la Terre. Cette orbite est excentrique : Mars passe soit à 208 millions de kilomètres du Soleil, soit à 228 millions de kilomètres. La durée de sa révolution est de 687 jours.


Jupiter image 6

C'est le plus gros corps céleste du système solaire (143 000 kilomètres de diamètre) ; il se trouve à 778 millions de kilomètres du Soleil, et en fait le tour en plus de onze ans. Il possède un champ magnétique 2000 fois plus fort que celui de la Terre, et émet des ondes radioélectriques. Il possède 15 satellites, parmi lesquels Ganymède, Callisto, lo et Europa, qui ont été découverts par Galilée en 1610 à l'aide du premier télescope,


Saturne image 7

C'est la deuxième plus grosse planète du système solaire (120 000 kilomètres de diamètre) ; son orbite autour du Soleil, dont elle est distante de l 426 millions de kilomètres, prend vingt-neuf ans et demi. Ses anneaux - il y en a trois principaux, mais des centaines et. peut-être des milliers d'autres - ont été étudiés pour la première fois en 1655 ; on sait aujourd'hui qu'ils sont constitués de glace et de rochers, et qu'ils tournent autour de la planète. Saturne possède également douze satellites, dont le plus gros s'appelle Titan.
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MessageSujet: Re: mythes et légendes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:34

Les Planètes Modernes

Les cinq planètes présentées plus haut étaient toutes connues dans l’Antiquité. Les trois suivantes ont été découvertes au cours des temps modernes, c’est pourquoi les astrologues les appellent "les planètes modernes".

Uranus image 8

Découverte, par hasard, par Wiliam Hershel en 1781, Uranus se trouve à 2 875 millions de kilomètres du Soleil ; il met quatre-vingt-quatre ans à en faire le tour. Il est quatre fois plus gros que la Terre et il possède un système d’anneaux et quatre satellites.


Neptune image 9

Cette planète fut découverte en 1846, après l’étude des perturbations sur l’orbite d’Uranus qui laissaient supposer une l’existence d’un corps céleste inconnu. Un peu plus grosse qu’Uranus, Neptune met 165 jours à faire le tour du Soleil ; il en est distant de 4497 kilomètres . Il possède deux satellites, Triton et Néréis. Triton qui fait le tour de Neptune en six jours, est l’un des plus gros satellites du système solaire.


Pluton image 10

Percival Lowell avait émis l’hypothèse que Pluton existait, sur la base de calcul mathématique. C’est Clyde Tombaugh qui le découvrit en 1930. Son diamètre, et son orbite est inclinée de 17 degrés par rapport à l’écliptique ; 5 800 millions de kilomètres le séparent du Soleil, dont il fait le tour en 248 ans. Son orbite excentrique la place sur celle qui suit Neptune, mais une collision entre les deux planètes semble improbable. Son satellite, Charon, fut découvert en 1978.

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Les mouvements des planètes

Les planètes ne suivent pas les mouvements réguliers autour du Soleil. Les excentricités de leurs orbites respectives sont sans doute plus important pour les astronomes que les astrologues, mais il faut souligner un phénomène observé de la Terre, les planètes semblent hésiter dans leur progression, s’arrêter, puis repartir dans l’autre sens, avant de reprendre leur mouvement initial. Une planète qui "recule" ainsi effectue un mouvement dit "rétrograde", et l’illusion optique résulte du fait que la Terre est en train de dépasser la planète ne question. Le point auquel une planète devient rétrograde est noté par la lettre "R" est son retour au mouvement par la lettre "D". Certains astrologues surestiment les effets d’une planète rétrograde.

Conjonctions

Une conjonction se produit lorsque deux planètes ou plus (n’oublions pas que, pour les astrologues, le Soleil est une planète) donnent l’impression, vu de la Terre, d’être situées sur la même ligne. Mercure et Venus peuvent opérer une conjonction supérieure ou inférieure : inférieur lorsque la planète se trouvent entre le soleil et la Terre, et supérieure lorsqu’elles se trouvent derrière le Soleil.
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MessageSujet: Auto-combustion   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:45

On retrouve dans une pièce un corps humain réduit complètement en cendre. Les autres objets de la pièce ne sont pas touchés. L'auto-combustion est l'un des nombreux mystères de la science. Il y a plein de cas qui prouvent que ce phénomène existe bien. Ce qui fait défaut, ce sont les explications scientifiques du phénomène. L'auto-combustion réduit en cendre la chair et les os en quelques instants. Comment ce phénomène peut se produire, alors que l'on sait parfaitement qu'il faut de longues heures à un feu intensif d'un crématorium pour calciner la chair d'un corps humain. Même après l'incinération on doit broyer les os qui sont restés quasiment intacts.

Premier cas qui a été dévoilé est celui de la comtesse Cornelia Bandi qui date du 4 avril 1731. Le tout s'est passé en Italie, près de Vérone. La comtesse était âgée de 62 ans et elle n'a jamais eu de maladie de sa vie. Ce soir-là, elle dîne avec des amis. Elle se retire assez tôt sous prétexte qu'elle est fatiguée. Elle s'endort après avoir discuté avec sa femme de chambre. Le lendemain matin, vers huit heures, comme à l'habitude sa femme de chambre vient réveiller sa maîtresse. Il y a un affreux spectacle qui s'offre aux yeux de la jeune femme. "Le plancher de la chambre, rapporte une gazette de l'époque, était parsemé de grosses taches d'apparence humide et gluante, tandis qu'un liquide gras, jaunâtre, écœurant, coulait le long de la fenêtre, emplissant la pièce d'une odeur répugnante". Tout était littéralement couvert de suie. Cependant, le lit n'avait pas été brûlé et les draps dépareillés indiquaient que la Comtesse Bandi avait eu le temps de se lever. Elle gisait à 1 mètre du lit. Tout ce qui restait d'elle c'était un petit tas de cendre. Elle était en position assise, l'avant-corps couché sur ces jambes. Ses deux jambes sont restées intactes et une moitié de boîte crânienne. Le reste avait semblé brûler.

Les policiers, les médecins ainsi que ses amis qui se sont rendus sur les lieux ont été incapables d'expliquer ce qui était arrivé à la comtesse. Un coroner a écrit dans son rapport : "un feu mystérieux semble s'être allumé spontanément dans la poitrine de la comtesse". C'était la seule conclusion qu'il put déduire et il ferma le dossier.

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Il y a naturellement d'autres cas plus récents qui sont similaires à celle de la comtesse. Par exemple : Extrait tiré d'un site web inconnu

En 1725, à Reims, un aubergiste du nom de Jean Millet passe en jugement. On l'accuse d'avoir tué sa femme en la brûlant dans la cheminée. Il n'en restait plus qu'une partie de la tête et quelques vertèbres, à une trentaine de centimètres du foyer. Quarante-cinq centimètres de plancher avaient brûlé à l'emplacement du corps, mais un pétrin et un saloir, placés à proximité, étaient intacts.

Lecat, un jeune docteur, réussit à convaincre les juges qu'il ne s'agit pas là d'un décès ordinaire. Les juges admettent l'existence d'une sorte de "feu justicier " lancé par Dieu pour châtier la femme de l'aubergiste, qui passait pour boire plus que de raison.

Un médecin légiste américain, le docteur Dixon Mann, émit l'hypothèse que ces cas de combustion humaine spontanée s'expliqueraient par l'état d'imbibition alcoolique particulièrement prononcée des victimes. Une étincelle suffirait à enflammer les victimes. Il admit cependant que de nombreux cas de combustions spontanés ne concernent pas cette théorie puisque les victimes ne buvaient pas d'alcool.

Une théorie est établie par certains scientifiques. Ils émettent l'hypothèse une sorte de dissolution physique due à la prise de certains médicaments. Cette théorie est facilement réfutée. Les enquêtes relatives aux cas de combustions humaines spontanées ont souvent montré que les victimes ne suivaient aucun traitement au moment des faits.

Il y a aussi certaines interrogations à propos des cas. Par exemple, les victimes sont en général retrouvées dans une position naturelle. Comme si tout c'était passé en une fraction de seconde ! Un autre problème est l'intensité de la chaleur dégagée et l'étendue des brûlures fait à l'environnement. Il faut une température d'au moins l.650 °C pour consumer un corps humain. Une telle chaleur réduirait tout en flammes dans un rayon considérable et mettrait le feu à une maison. Cependant dans tous les cas de combustion, l'environnement à été épargné ou a simplement disparut. Citons le cas de la comtesse qui avait encore son collant de soie. Il y a aussi le cas de l'aubergiste ou le plancher était un peu calciné mais pas brûler jusqu'à se réduire en cendre. Parfois, les corps ne sont pas tous consumés et il reste des parties complètement intactes.

Un autre problème est celui de l'étrange silence des victimes. Celles-ci sont incapables d'appeler à l'aide. Il existe quelques cas ou la victime est vivante mais cela aide peu les scientifiques car la plupart du temps elles sont incapables de raconter leur mésaventure.

Certains prétendent que les cas de combustions spontanés sont reliés au vouloir de suicide des victimes. Il y a deux cas qui confirment cette théorie. Le 13 décembre 1959, Billy Peterson, vingt-sept ans, décide d'en finir avec la vie en s'asphyxiant au gaz d'échappement, qu'il détourne du moteur vers l'intérieur de sa voiture. Retrouvé un peu plus tard, son état physique inquiétera les enquêteurs : alors qu'il était brûlé au troisième degré, ses vêtements et ses sous-vêtements étaient presque intacts. Le 18 septembre 1952, Glen Denney, quarante-six ans, se suicide en se tranchant les poignets. On l'a retrouvé carbonisé, alors que rien n'avait brûlé dans la pièce. " Le corps a prit feu pour une raison inconnu, alors qu'il tentait de se suicider ", a conclu le rapport des policiers.

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LE CAS FRANCAIS D'URUFFE

Nous sommes à Uruffe, petit bourg lorrain proche de Toul. Ginette Kazmierczak mène une vie solitaire, discrète et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village.

Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement car son fils est de sortie. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est plaine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de porte d'entrée de Mme Kazmierczak. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Kazmierczak gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes et le bras droit sont intacts alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres. Il a fallu une température énorme (2000°C) pour arriver à ce macabre résultat.

image auto 1

Fait étrange : seul le plancher sous le buste de la victime révélera des traces d'incendie. Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autre n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteints. Une boîte d'allumettes est intacte sur le rebord de la fenêtre. L'électricité fonctionne correctement. Crime, suicide? Ces thèses sont écartées à défaut d'élément matériel pouvant les étayer.

Le parquet de Nancy ouvre une enquête et charge le capitaine Laurain d'une expertise. Ce dernier reprend toutes les hypothèses : explosion d'une bombe aérosol ou d'un gaz (mais l'embrasement du mobilier aurait alors été total), crime (mais la porte de l'appartement était fermée de l'intérieur), foudre (la météo invalidera cette possibilité). L'expert doit admettre qu'il s'agit bien là d'un cas de combustion spontanée. En conséquence, le 18 janvier 1978, le parquet de Nancy prononcera une ordonnance de non-lieu dans cette affaire. Ce cas troublant a été reconstitué dans le cadre de l'émission "Mystères" sur TF1 (photo ci-dessus).

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Malheureusement, aujourd'hui encore de nombreux médecins refusent d'admettre l'existence de ces cas. Au XIXème siècle on a d'abord avancé la théorie que le cas de la combustion spontané ne touchait que les alcooliques et que c'était une punition divine. Explication tout à fait farfelue. Certaines expérimentations ont prouvé que la chair imbibée d'alcool cesse de brûler quand il ne reste plus d'alcool. On a également prétendu que les victimes avaient pris feu tout naturellement, en s'approchant trop d'une cheminée. Ce qui n'explique pas la moitié des cas du passé et encore moins ceux d'aujourd'hui.

Une théorie intéressante est apparue. Les cas de combustions humaines spontanés se produiraient lorsque la courbe géomagnétique de la Terre est à son maximum. Cette courbe varie considérablement en fonction de l'activité solaire. Cela semblerait indiquer que les combustions humaines spontanées sont le résultat d'une interaction entre des conditions astronomiques bien spécifiques et l'état physique de la victime.

Ces conditions pourraient être, à leur tour, des prés requis, à l'apparition des "boules de feu ". On a envisagé cette hypothèse à propos du cas de Mme Reeser, retrouvée brûlée sur un tapis intact, tandis qu'une étrange boule de feu tournoyait au-dessus de son cadavre.

Selon plusieurs physiciens, ces "boules de feu " pourraient dégager une énergie immense, qui produirait des ondes radio identiques à celles d'un four à micro-ondes. Dans cette hypothèse, les combustions spontanées à l'intérieur de vêtements intacts deviennent possibles. Elles seraient dues à la présence de boules de feu à proximité du corps (ou bien dans le corps). Ou bien à l'action d'un gigantesque champ d'ondes radioactives, qui aurait formé une boule de feu s'il n'y avait pas eu un corps à consumer.

Ce mystère ne sera peut-être jamais résolu. Il y a une certitude, c'est que ces cas existent et qu'il y a de plus en plus de gens qui s'y intéressent. Plus nous creuserons dans les mystères plus nous pourrons découvrir la vérité.
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MessageSujet: les 7 statue   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:49

LES STATUES DE PROTECTIONS


Seule les statues représentant certains animaux (animaux totems) peuvent générer une réelle protection.

En ce qui concerne les statues représentant des êtres humains, il est fortement déconseillé de les utiliser comme protection car en général c'est l'inverse qui se produit (il y a quasi interdiction d'utiliser ce type de statue jusqu'en 2019), certe il est possible de bloquer le paranormal sur ce genre de statue mais seuls les hauts magiciens peuvent "s 'amuser à le faire .On peut mettre de 1 à 3 statues dans un terrain privé (les statues sur les places et jardins public ne fonctionnent pas) et avoir une autorisation pour le faire.

L'habitation construit sur le terrain doit être une maison individuelle prenant moins des 2/3 de la surface du terrain et être non mietoyenne et non locative.
Les statues d'animaux peuvent être placées vers le portail d'entrée d'un terrain,vers la porte d'entrée d'une maison ou dans le terrain même.La composition des statues doit être en pierre ou pierre moulée de couleur blanche (symbole de pureté) et avoir au moins 30cm de hauteur ou de longueur.
Il faut une autorisation pour installer des statues de protections (animaux Totems) dans son terrain car elles peuvent empêcher des évenements négatifs de survenir.Il y a 3 niveaux d'autorisation de placer tel statue dans votre terrain?

1) demander le à un médium, Géobiologue ou Cartomancien ( pour les autorisations de nieau 1,2 et 3).

2) pour une personne ayant des capacitées esothériques, il faut qu'elle ai reçu un signal fort (rêve prémonitoire, message grâce à des animaux, hériter ou se trouver en position d'acquérir une statue de protection (animal Totem) sans l'avoir réellement voulu (pour les autorisations de niveau 1 et 2).

3) pour les personnes possédants des techniques ésothériques, elles peuvent tenter d'avoir des réponses par elle-même(pour une autorisation de niveau 1 uniquement).
Un animal Totem et un animal trés positif vivant dans des zones astrales supérieurs de la planète et sa représentation sous la fome d'une statue duplique ses propriétées magnétiques et magiques de celui -ci.
Je détail içi 24 animaux Totems, il en existe d'autres que l'on pourra utiliser plus tard.

1)Cochon: transforme l'argent négatif en argent lumière(argent positif)autorisation de niveau 2.
2 notes : c'est la raison pour laquelle les tirelires sont souvent représenté sous la forme de cochons rose (nettement préférable au cochon noir)
2)pour les personnes milliardaires, avoir une collection de cochons roses (en tirelire ou en figurines toutes différentes) peut être d'une grande utilité notament pour tout ce qui traite de valeurs boursières.

2)héron : combat les troubles mentaux (autorisation de niveau 3).

3)coq: pour les personnes manquants d'orientation (statue à orienter vers l'est)
(autorisation de niveau 1)
message pour les chercheurs de vérité : pourquoi lemblème de la france est-il un coq?

4)Tigre : protection contre les forces du mal(autorisation de niveau 3).

5)jaguar:contre les sectes négatifs (autorisation de niveau 3).

6)baleine : combat l'enseignement négatif(autorisation de niveau 3).

7)dauphin: extention de l'orbe des rayonnements magiques)
exemple: un animal Totem coq dans un terrain de plus de 3 hectares(orbe maxium )pourra couvrir grâce à un animal Totem dauphin un terrain allant jusqu'a 12 hectares(autorisation niveau 2).

8)Saumon: transformation alchimique de l'eau mégative en eau positive (autorisation niveau 3).

9)Cygogne: protection contre les familles négatives ou moyennement négatives (autorisation niveau 3).
2 notes: 1) c'est pour cette raison que l'on représente une cygogne transportant un bébé qui le dépose à un couple en attente d'enfant.
2)généralement si une cygogone fait un nid sur une maison , cela est trés bon signe(indique une famille positive).

10)Colombe: protection d'ambassadeur (annule toutes les attaques astrales négatives direct et indirect). autorisation niveau 3).

11)Lion :1 lions - pour sauvegarder ses 6 sens intacts (autorisation niveau 1)
2 lions - maison protégée(médecine légère)(autorisation niveau2).
3 lions - zone sous protection(médecine moyenne) (autorisation niveau 3).

12)Serval : protection contre les magies noirs et les faux-prophètes (autorisation niveau3 voir plus).

13) Chouette: permet de faire de l'esothérisme dans des lieux noires(autorisation niveau 2)
note : avoir une collection de 12 chouette différentes permets d'atteindre un niveau supérieur dans une discipline esothérique. exemple: un niveau en astrologie de 12m passe à 19m.

14) Rhinocéros: détruit les rapports sexuels négatifs (viols, relations conflictuelles, faux-semblant... (autorisation niveau 3).

15) Aigle: protection contre le bas astral(autorisation de niveau 3)
note : il y a aigles: un aigle blanc (animal Totem) un aigle noir: l'emblème iconographique des romains, du sénat américain, de napoléon...

16) Tourterelle: destruction totale des connections négatives(autorisation de niveau 2)
note : les tours (nombre 16) permettent de voir plus loin et de plus haut ainsi que de n'être pas relié à la base.

17) Taureau: protection envers les pays étrangers(utile pour le personnel diplomatique) (autorisation de niveau 3).

18)Chat inversion du rayonnement de deux objets trés négatifs de même nature.(autorisation de niveau 1).
exemple: 2 chaises, flacons d'huiles essentielles,2 aspirateurs...

19)Gargouille: détruit toute les duplications négatives ainsi que les sons négatifs ( suicide )(autorisation de niveau 3)

20)Ibou : renforce les aspects astrologiques positifs (autorisation de niveau1)
note: avoir une collections de 12 ibous différents permet à un astrologue professionnel d'avoir plus influt et une meilleur protéction.

21)Faucon: bonne protection contre le voisignage négatif (personne(s),nocivitée, batiment administratif...)(autorisation de niveau 3).

22) cheval: 1 cheval(vrai nom : cheval de feu)
protection contre l'astrologie négative (autorisation de niveau 1)
2 cheval:(vrai nom cheval de guerre)protection contre les changements négatifs(expariation ,exode,guerre...)
(autorisation de niveau 2)
3 cheval: (vrai nom: destrier)protection contre le nexus négatif (polaritées négative des 12 planétes du systéme solaire, des 12 systéme stéllaires qui sont reliés, amas de 12 galaxies ou nébuleuses)
note:le niveau supérieur au nexus négatif est la matrice.

23) Dragon : 1 dragon : (vrai nom :petit dragon )-lutte contre les lieux trés négatifs ainsi que contre une malédiction génére une protection pour une personne.(autorisation de niveau 1)
2 dragon : (vrai nom : dragon moyen)- idem un dragon plus génére une protection pour une famille (4 personnes maximum).(autorisation de niveau 2 )
3 dragon : (vrai nom : l'ultime dragon ) - génere une bénédiction plus une protection sur un secteur défini ( hameau )(autorisation de niveau 3)

24) Centaure: permet un déblocage d'une situation figée.(autorisation de niveau 3)

Dans cette liste 5 animaux Totems possédant une félicité(enchantement)de protection d'un signe zodiaquale (taureau, lion,aigle(scorpion),centaure
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MessageSujet: les pyramides   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:51

Les mysteres


Les secrets des pyramides egyptiennes


Ne restez pas trop Longtemps sous des pyramides egyptiennes. vous pourriez être proprement momifié ! Les physiciens sont en train de le découvrir. Les formes géométriques peuvent émettre des ondes particulières. Les prêtres égyptiens qui ont scellé la tombe de Toutankhamon connaissaient-iIs ces ondes de forme ? Un passionnant problème, aux nombreuses conséquences sur notre vie quotidienne.

expérience étonnante

Comment se fait-il qu'une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ? ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l'intérieur ? Pourquoi certains volumes émettent-ils une énergie d'origine inconnue et cependant mesurable ? C'est toute l'énigme des "ondes de forme", et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là. Un mystère que la science voudrait bien expliquer et dont certaines civilisations de la haute Antiquité avaient peut-être percé le secret... Dans le dossier n" 91304, au Bureau des inventions de Prague, il y a la description d'un appareil bien insolite qui est prosaïquement décrit sur la page de garde comme L'ustensile à usage d'aiguisoir de lames de rasoir. Le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal, bien connu en Tchécoslovaquie parce qu'il y fut, entre autres, responsable de la création du réseau national de télévision. L'aiguisoir est décrit comme une pyramide de carton ou de plastique qui mesure 23,40 cm de côté sur 15, 10 de hauteur. Elle comporte une base carrée, amovible. sur laquelle on la pose comme une cloche. Sur cette base sont dessinées les médianes, et à leur intersection se trouve un petit parallélépipède de la taille d'une boîte d'allumettes. Il est spécifié que les dimensions de ce dernier n'ont pas une importance capitale mais qu'elles ne doivent toutefois pas excéder 6.50 cm de hauteur. L'idéal est 5 cm. ce qui correspond au tiers de la pyramide.

Pour utiliser le système. il faut une boussole. car on oriente la pyramide de façon que L'une des médianes se trouve très exactement sur un axe nord-sud- Il est aussi indispensable de procéder à distance de tout appareil électrique ou électromagnétique. La lame de rasoir émoussée est posée sur le socle de 5 cm, les tranchants tournés face à l'est et à l'ouest. On place la pyramide sur sa base au-dessus de la lame et on attend six jours. La lame est affûtée. Drbal prend soin de préciser que, par la suite, il suffit de la remettre dans la même position sous la pyramide pour qu'elle retrouve son fil du jour au lendemain ! Ce qui est incroyable. c'est que ça fonctionne sans que l'on puisse expliquer pourquoi ni comment !

Ce n'est bien sûr qu'une hypothèse. déclare l'ingénieur tchèque. Mais il semble que toute évolution chimique, physique, biologique de la matière se produisant dans un espace donné varie en fonction de la forme de cet espace- Pourquoi ? On l'ignore tout à fait. Mais force est de constater qu'en utilisant des formes appropriées, la pyramide, en l'occurrence. On accélère ou on ralentit le processus... Pourquoi la Pyramide ? Et plus particulièrement, dans le cas de l'aiguisoir de Prague, à l'échelle de celle du pharaon Chéops, en Egypte ?

Modestement, Drbal, dans ses Mémoire. avoue ne pas. être tout à fait à l'origine de la découverte. Au début des années cinquante, raconte-t-il. un touriste français (mais oui), M. Bovis, visite la pyramide égyptienne. Dans la chambre mortuaire, un fait l'intrigue. L'humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats. d'insectes et de rongeurs, sans doute morts après avoir pénétré et s'être perdus dans les galeries. n'ont pas pourri, ils se sont littéralement momifiés. Bovis se demande alors si l'architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques...
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MessageSujet: l'alchimie   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:53

L'alchimie



Changer le métal ordinaire en or ou en argent , le rêve grandiose et chimérique des anciens alchimistes pourrait nous paraître dérisoire si certains témoignages ne venaient pas affirmer que le rêve des fous du Grand œuvre s'est parfois réalisé... Qu'ils aient découvert ou non la pierre philosophale, les grands alchimistes, en traquant les secrets de la matière, ont souvent contribué à l'avènement de la science moderne.

En l'an de grâce 1666, deux jours après Noël, un étrange visiteur, à l'aspect peu engageant, se présente au logis de Friedrich Johann Schweitzer, médecin du prince d'Orange : De taille moyenne, il avait un visage plutôt allongé, légèrement grêlé de petite vérole, une chevelure sombre, sans aucune trace de frisure, et un menton imberbe. Il pouvait avoir quarante-deux ou quarante-trois ans et était natif des provinces du Nord. Comme on peut le voir, l'éminent chirurgien, auteur de plusieurs traités de botanique et de médecine, était un observateur aussi attentif qu'objectif. Après avoir échangé quelques banalités d'usage, l'inconnu demande soudain à Schweitzer s'il se croit capable de reconnaître la pierre philosophale si on la lui mettait devant les yeux, singulière question ! La pierre philosophale, dont les alchimistes cherchaient à percer le secret, avait, disait-on, le pouvoir de changer en or les métaux ordinaires. Sous une forme liquide, la même fabuleuse substance, dite "élixir de longue vie", était réputée guérir tous les maux et assurer une extraordinaire longévité. C'est alors que le visiteur sort de son gousset une petite boîte d'ivoire. A l'intérieur se trouvent trois morceaux d'une matière pesante et translucide, d'une pâle couleur soufrée, chacune de la taille d'une petite noix. Voici, affirme l'étranger, la précieuse substance dont les alchimistes ont si longtemps cherché le secret. Schweitzer s'empare avidement de l'une des pierres pour l'examiner et supplie son interlocuteur de lui en laisser un petit fragment. Celui-ci ayant refusé, il parvient néanmoins, avant de lui restituer l'objet, à en détacher subrepticement un minuscule éclat avec son ongle. Dès que son visiteur l'a quitté. en lui promettant de revenir dans trois semaines pour lui montrer certaines expériences curieuses, Schweitzer se précipite dans son laboratoire. Il fait fondre un peu de plomb dans un creuset et ajoute alors la parcelle qu'il a dérobée. Il se produisit alors un bouillonnement intense accompagné de sifflement, si bien qu'au bout d'un quart d'heure la totalité de la masse de plomb s'était transformée en or fin.

Le lendemain, le philosophe Spinoza, qui demeure non loin de là, vient examiner l'or ainsi obtenu, et il se déclare convaincu de la sincérité de Schweitzer. Puis c'est à l'essayeur patenté de la province que l'on demande de vérifier le titre du métal, que l'orfèvre Buectel soumet à divers autres tests. Les résultats sont concluants : c'est bien de l'or, et du meilleur aloi. La bonne foi de Schweitzer ne peut guère être mise en doute. Ce médecin réputé, cet esprit scientifique était incontestablement un observateur objectif, peu suspect de fraude ou de mystification. Et cependant, ce que nous savons aujourd'hui de la structure de la matière, et plus particulièrement des propriétés des métaux, nous interdit évidemment de croire à la possibilité d'une telle transmutation. Schweitzer n'est d'ailleurs pas le seul savant de son temps qui crut fermement à l'existence de la pierre philosophale. D'autres hommes de science éminents ont affirmé avoir réalisé, ou vu de leurs propres yeux la transmutation de métaux non précieux en or. Tel est le cas du grand chimiste flamand Jan Baptist Van Helmont, qui fut notamment le premier à affirmer qu'il existait de nombreux autres gaz que l'air il est d'ailleurs l'inventeur du terme même de gaz, dérivé du mot chaos.

Friedrich Johann Schweitzer, un des savants qui affirment avoir assisté à une transmutation des métaux!

Les théories d'Aristote reposent sur l'unité du principe de la "matière", qui ne possède en elle-même aucune propriété physique spécifique, mais à laquelle peuvent être imprimées différentes formes. Notons que par le terme "forme" il n'entend pas seulement les contours concrets, mais toutes les propriétés physiques ou chimiques caractéristiques d'un corps ou d'une substance ; propriétés qui peuvent se résumer à quatre caractères essentiels, l'humidité, la sécheresse, le chaud et le froid. Ces caractères primordiaux sont incarnés par les quatre éléments, le feu qui est chaud et sec, l'air qui est chaud et humide ; exemple, la vapeur, l'eau (froide et humide) et la terre (froide et sèche). A partir de cette conception du monde sensible, on arrive logiquement à l'idée que chaque substance spécifique résulte de la combinaison des quatre éléments de base, dans des proportions variables. Prenons l'exemple d'une bûche de bois vert mise dans le feu, sous l'effet de la chaleur, on voit tout d'abord se condenser à la surface du bois de fines gouttelettes d'eau qui ne tardent pas à se transformer en vapeur. Puis le bois se consume, donnant donc apparemment naissance aux flammes. Enfin, à la fin de la combustion, il restera des cendres, c'est-à-dire de la "terre". A partir de là, on peut donc aisément imaginer la transformation d'une substance en une autre, il suffit de modifier par addition ou soustraction les proportions des différents éléments.
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MessageSujet: les 12 travaux de hercule   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:55

Les mysteres


Les 12 travaux d'Hercule


Les 12 travaux d'Hercule :le lion de Némée
Une vaste forêt de l'Argolide, dite de Némée, servait de retraite à un énorme lion qui dévorait les troupeaux d'alentour. Eurysthée ordonna à Hercule, alors âgé de seize ans, de débarrasser la contrée de ce monstre indésirable.Hercule, avec son arc et son carquois, se mit à la recherche de l'animal. Bientôt, il lui décocha plusieurs flèches sans pouvoir même le blesser, tant sa peau était dure et impénétrable. Les flèches s'émoussaient et retombaient brisées. Hercule s'arma alors d'une massue et asséna un coup terrible sur la tête du monstre. La massue se brisa en deux. Il n'y eut plus qu'à lutter corps à corps avec la bête féroce qui bondissait et poussait des rugissements furieux. La lutte s'engagea ; au bout de quelques instants, le lion de Némée gisait inanimé. De ses ongles, Hercule le dépeça et se revêtit de sa toison fauve qui, dès lors, lui servit de vêtement et de bouclier.


Les 12 travaux d'Hercule :l'Hydre de Lerne
Eurysthée ordonna ensuite à Héraclès de tuer un serpent monstrueux qui vivait au fond des marais de Lerne, dans le territoire d'Argos. L'hydre, dotée de plusieurs têtes, présentait une particularité : les têtes coupées reparaissaient plus nombreuses à moins qu'on n'appliquât le feu à la plaie. Hercule en fit l'expérience. Voyant que l'épreuve était toujours à recommencer, il demanda l'aide de son ami Iolaos. Celui-ci brûlait les têtes de l'hydre au fur et à mesure que le héros les abattait. Mais Héra, voyant Hercule prêt à triompher du monstre, envoya au secours de l'hydre une écrevisse géante, qui le piqua au pied. Hercule l'ayant aussitôt écrasée, la déesse la plaça parmi les astres, où elle forma le signe du Cancer. L'hydre fut tuée sans problèmes. Cependant, la tête du milieu était immortelle. Après l'avoir coupée, Hercule l'enterra, puis il plaça par-dessus un énorme rocher. Le sang qui coulait des blessures du monstre contenait un subtil venin qui donnait infailliblement la mort. Hercule y trempa ses flèches.


Les 12 travaux d'Hercule :le sanglier d'Erymanthe
En Arcadie, sur la montagne d'Erymanthe, un sanglier colossal semait la terreur parmi les troupeaux et les bergers. Cet animal n'était pas facile à trouver : il se faufilait dans les fourrés, dans les broussailles. Alors qu'il cherchait le sanglier, Héraclès rencontra le centaure Pholos qui l'invita à partager son repas. Mais une troupe de centaures, alléchés par l'odeur du vin, attaqua la caverne de son hôte et Héraclès dut les repousser. C'est en examinant une des flèches du héros que le Centaure Pholos se blessa au pied et mourut du terrible venin de l'Hydre de Lerne qui avait empoisonné les flèches d'Héraclès.


Les 12 travaux d'Hercule :la biche aux pieds d'airain
Le voyant si bon coureur, Eurysthée demanda à Hercule de lui apporter vivante la biche de Cérynie qui déambulait sur les pentes et dans les vallées du mont Ménale, en Arcadie. Cette biche n'était pas comme les autres : elle avait des cornes d'or et des pieds d'airain. Grande et forte comme un taureau, elle était renommée pour la vitesse de sa course, personne n'avait jamais pu l'atteindre. Heraclès, la sachant consacrée à Artémis (Diane), ne voulut pas la percer de ses flèches ; il entreprit donc sa poursuite. Il y mit du temps, une année entière, mais finit par la prendre au moment où elle traversait le fleuve Ladon : visant habilement ses pattes avant entre l'os et le tendon, il immobilisa la biche d'une flèche sans la blesser. D'abord courroucée qu'il ait touché à une bête qui lui était consacrée, Artémis reconnut que seul Eurysthée était à blâmer et permit à Héraclès de l'emporter. Il chargea donc la bête sur son dos et retourna à Mycènes où il la déposa vivante aux pieds d'Eurysthée. ..


Les 12 travaux d'Hercule :oiseaux du lac Stymphale
En Arcadie, sur le lac Stymphale, vivaient de monstrueux oiseaux. Ils étaient en si grand nombre, et d'une taille si extraordinaire que, lorsqu'ils volaient, leurs ailes faisaient écran à la clarté du soleil. Ces affreux volatiles, armés d'un bec, d'ailes, d'une tête en fer et de griffes à pointes d'airain, détruisaient tous les fruits et toutes les récoltes. Le dieu Arès les avait lui-même dressés au combat. Hercule réussit à les faire sortir de leur forêt en agitant des castagnettes de bronze, fabriquées par Héphaïstos, et que lui avait données Athéna. Epouvantés par ce vacarme, que certains disent provoqué par de fortes cymbales plutôt que par de frêles castagnettes, les oiseaux s'envolèrent et s'égaillèrent, tombant ainsi à la merci des flèches d'Hercule, qui les extermina jusqu'au dernier...


Les 12 travaux d'Hercule :le taureau de Crète
Le roi de Crète, Minos, désireux de se concilier les bonnes grâces de Neptune, avait formulé un voeu. Il lui offrirait en sacrifice ce que le dieu des Mers ferait surgir des ondes. Un taureau magnifique en sortit, mais si beau qu'on n'avait jamais vu son pareil. Minos le garda pour lui et lui substitua un ruminant rachitique et minable. Neptune jugea l'action de mauvais goût et n'admit pas l'imposture. Il communiqua au splendide taureau des élans furieux qui répandirent la terreur dans la Crète entière. Eurysthée commanda alors à Hercule de dompter l'animal. Le fils d'Alcmène passa la mer, aborda en Crète, où il attaqua le taureau par les cornes. Il le contraignit à s'agenouiller, l'entrava, le prit sur ses épaules et le remit entre les mains de son maître


Les 12 travaux d'Hercule :cavales de Diomède
Un roi de Thrace, Diomède, fils de Mars et de Cyrène, possédait des cavales indomptables aux narines projetant des flammes. Pour les nourrir, il leur offrait en pâture les étrangers échoués sur le rivage. Eurysthée chargea le héros de s'emparer de ces bêtes sauvages et de les lui amener à Mycènes. Aussitôt les écuries découvertes, Hercule tua palefreniers et valets, s'empara de Diomède, déposa son corps dans les mangeoires d'airain où ses cavales le dévorèrent avec avidité. Les féroces bêtes, solidement attachées, furent embarquées sur le navire qui, poussé par un vent favorable, les amena dans le royaume d'Argos, conformément à l'ordre reçu.


Les 12 travaux d'Hercule :la ceinture d'Hippolyte
Admète, la fille d'Eurysthée, avait entendu dire que la reine des Amazones portait une ceinture unique par son élégance et sa richesse. Elle demanda à son père de la lui obtenir. Naturellement Eurysthée confia encore une fois ce travail à Hercule. Les Amazones, femmes guerrières de la Capadoce, sur les confins du Pont-Euxin, formaient une peuplade sauvage et redoutable, vivant de rapines et du produit de leur chasse. La reine Hippolyte les commandait. On la reconnaissait aisément à son corset formé de petites écailles de fer, attachées avec une ceinture, la ceinture convoitée. Hercule et ses compagnons débarquèrent sur le rivage du Pont-Euxin et se rendirent au palais d'Hippolyte avec de nombreux présents. En échange Hercule sollicita le don de la ceinture. La reine des Amazones lui fit bon accueil, lui sut gré de sa venue. Elle était sur le point de lui remettre la ceinture, quand elle en fut violemment dissuadée par ses farouches cavalières, qui crièrent à la trahison. Les arcs se tendirent, les flèches sortirent des carquois, les haches frèmirent, c'était la guerre. Hercule et sa troupe, d'abord en état de défense, passèrent à l'attaque, poursuivirent les Amazones, en tuèrent un grand nombre et capturèrent leur reine. La ceinture d'Hippolyte lui fut ravie. Hercule, triomphant, la rapporta à Eurysthée et à sa fille


Les 12 travaux d'Hercule :les écuries d'Augias
Roi d'Elis, dans le Péloponnèse, Augias possédait une quantité considérable de boeufs, pas moins de trois mille. Ses étables, où s'accumulait le fumier, n'avaient pas été nettoyées depuis une trentaine d'années. Augias proposa à Hercule le dixième de son troupeau, soit trois cents boeufs, s'il nettoyait les étables dans la journée. Hercule pratiqua deux ou trois brèches dans les murs, détourna de leur cours deux fleuves, l'Alphée et le Pénée, et dirigea les eaux à travers les écuries. Aussitôt le "ménage" terminé, Hercule se présenta pour recevoir le prix de son travail. Augias, hésitant, n'osant le refuser ouvertement, le renvoya au jugement de son fils Philée. Celui-ci décida en faveur d'Hercule. Augias chassa son fils de sa présence et l'obligea à se réfugier dans l'île de Dulichie. Indigné de ce procédé, Hercule pilla la ville d'Elis, tua Augias, rappela Philée et lui donna les états de son père.


Les 12 travaux d'Hercule :boeufs de Géryon
Géryon, fils de Chrysaor et de Callirhoé, avait trois corps et passait pour le plus fort des hommes. Retiré aux confins du monde alors connu, du côté de l'Occident, il règnait sur l'Erythrie, contrée d'Espagne, voisine de l'Océan. Sa seule société consistait en un troupeau de boeufs rouges, féroces, gardés par un molosse à deux têtes et un dragon à sept gueules. Il s'agissait, pour Hercule, de s'emparer des boeufs et de les joindre aux trophées qu'il avait déjà ramenés à Mycènes. Lorsqu'il arriva en Erythrie, les aboiements du chien à deux têtes lui signalèrent l'emplacement des boeufs cherchés. Deux coups de massue, un par tête, mirent le chien hors de cause. Plus craintif ou plus prudent, le dragon observa les distances. Sept flèches fendirent l'espace et l'abattirent. L'énorme Géryon accourut, alourdi par sa triple corpulence, et s'affaissa sous le poids de l'invincible Hercule. Restèrent les boeufs. Le vainqueur leur réserva, à travers de nombreux pays, un long et beau voyage qui se termina à Mycènes.


Les 12 travaux d'Hercule :les Pommes d'or
Des arbres aux rares essences, des fleurs exhalant les plus suaves parfums, des fruits colorés savoureux, les plus belles fontaines se trouvaient dans un parc immense qui s'étendait à perte de vue. Il existait parmi ces merveilles des pommes appelées pommes d'or à cause de leur éclat impressionnant. Eurysthée demanda donc à Hercule d'en cueillir et de les lui rapporter. Le fils d'Alcmène n'osa pas refuser mais il ignorait de quel côté diriger ses pas. Après de longues et pénibles courses, il s'arrêta un moment auprès d'une source afin de reprendre son souffle et de se rafraîchir. Là, une nymphe lui apprit que le vieux dieu marin Nérée lui serait d'un précieux concours dans sa quête. Il découvrit facilement le dieu somnolant sur le rivage, à l'ombre d'un rocher abrupt. Celui-ci indiqua à Hercule où trouver les pommes d'or : en Mauritanie, dans le royaume d'Atlas.


Les 12 travaux d'Hercule :Cerbère
Une seule chance restait à Eurysthée de faire périr Héraclès : le mettre aux prises avec Cerbère, l'horrible chien qui, si l'on en croit Les Métamorphoses d'Ovide, gardait la porte des Enfers : grâce à ses trois gueules, il finirait bien par le dévorer ! Le fils d'Alcmène reçut donc l'ordre formel de capturer le chien Cerbère. Pour accéder au domaine des morts, l'autorisation d'Hadès (Pluton) était nécessaire. Hermès (Mercure), le messager des dieux, la fit obtenir à condition qu'Heraclès se présente sans armes d'aucune sorte. Héraclès se couvrit donc simplement de la peau du lion de Némée, et, sans massue, sans javelot, aborda le monstre aux trois têtes. Les trois gueules béantes découvrant des crocs énormes et pointus, les aboiements furieux se répercutant sous les voûtes sombres, rien ne troubla le sang-froid, rien ne limita l'ardeur du héros : il s'avança d'un pas ferme, attaqua l'animal, subit de cruelles morsures mais, saisissant l'unique cou de la bête, il le serra jusqu'à l'étouffement. Il tint à sa merci Cerbère qui, tirant ses trois langues à la fois et ne pouvant plus respirer, se vit ligoté puis conduit au roi de Mycènes. L'aspect de cet atroce animal terrifia Eurysthée qui refusa de le recevoir et le renvoya, sous bonne escorte, remplir ses lugubres fonctions de gardien des Enfers
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MessageSujet: le monstre du ness   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:56

Les mysteres


Le monstre du Loch Ness


Qui ne connait pas le Loch Ness,ce lac si célèbre d'Ecosse qui abriterait selon la légende un monstre.Il faut aussi rappeler que le cadre environnemental coïncide avec cette histoire.En effet avec ses 35 kilomètres de long et ses 1.5 kilomètres de large,ce lac qui ne gèle jamais,a toujours effrayé.

La première mention du monstre remonte à l'an 565.L'histoire raconte que la créature du lac aurait été mise en fuite par Saint Colomban.Une autre légende du Moyen âge rapporte qu'une créature à long cou aurait était prise au piège dans des douves et ensuite tuée par des gardes.On voit donc que les histoires parlant du monstre ne datent pas d'hier.D'autres mentions du monstre seront faites en:1520,1527,1600,1700,1771,1802,1880 ,1886.

Mais c'est en 1933,lorsque commença la consruction d'une route longeant le Loch;que les choses commencèrent à prendre de grandes proportions.Voici le témoignage de Mrs. M. F. MacLennan qui virent le monstre cette année là: "Il avait des pattes courtes, épaisses, mais bien des pattes quand même, avec une sorte de sabot comme celui d'un porc, mais beaucoup plus grand. [...] Il ne semblait pas avoir d'oreilles, mais croyez-moi il peut entendre. Il se dressa sur ses deux pattes antérieures (il avait quatre pattes),puis il glissa de la falaise (il n'était qu'à 6 pieds [1,80 m] de l'eau et devait avoir grimpé comme un singe pour être arrivé là où il était). Il ne s'est pas levé comme,disons une vache. Il gardait les pattes postérieures sur le sol comme un phoque." (d'après Maurice Burton 1961).

En 1933 se multiplièrent donc le nombre d'apparitions,mais aussi le nombre de canulars: les traces de pas découvertes en décembre 1933 sur les rives du Loch ont été faites avec un cendrier en forme de pied d'hippopotame. Le docteur Tony Shiels,à qui l'on doit beaucoups de photos,n'était qu'un menteur,ces soit disant "preuves" n'étaient en réalité que des trucages.

C'est aussi cette année là que l'on commença à parler de monstre préhistorique et plus particulièrement du plésiosaure;en effet son allure reptilienne et son long cou rappellent beaucoup cette animal qui a disparu il y a 65 millions d'années.Dès lors dans tous les journaux,on se mit à parler de la survivance d'un animal de l'ère secondaire dans les eaux du Loch Ness.

Le nombre de photos du soit disant monstre étaient nombreuses et se multipliaient depuis 1933;mais elles ne constituaient pas des preuves asssez importantes pour les scientifiques.Les films,par contre sont plus pris en compte car ils sont difficiles à truquer.Le film du monstre le plus connu est celui réalisé en 1960 par Tim Dinsdale.On y voit une bosse se déplacer puis disparaître dans l'eau. Le second film a été tourné par Richard Raynor,le 13 juin 1967,à l'extrémité nord du lac. Il montre un sillage,à la tête duquel on aperçoit parfois un objet solide,déclaré lui aussi animé.Mais là encore,les fims ne constituent pas une preuve suffisament importante.Le sonar a été aussi employé.En 1968,sous la direction du professeur D.G. Tucker,une équipe de l'université de Birmingham a repéré au fond du lac un objet se mouvant à 25 km/h et qui selon les données du sonar n'était pas un banc de poissons. En 1970,l'Académie des Sciences Appliquées de Boston entre en scène,et s'installe avec du matèriel très moderne de photographie sous-marine.Mais le résultat n'est pas très intéressant,à part peut être la photo où l'on voit ce qui serait la nageoire du monstre(photo en bas de page).Mais en 1975 l'équipe résidive avec cette fois ci un peu plus de chance, sur l'une des photos,on voit nettement l'abdomen,le cou et les palettes natatoires de l'animal.Naturellement les photos firent sensation dans la presse,mais on ne peut supprimer l'hypothèse que les photos pourraient montrer en réalité des troncs d'arbres ou des rochers.

Pour certains,ce qui est sûr,c'est que le Loch Ness abritent des animaux de grandes tailles.Mais qui sont-il?La description qui revient souvent,est que l'animal possèderait un long cou d'environ 3 mètres,4 palettes natatoires et dans certains cas on parle de bosses,de cornes sur la tête et d'une sorte de crinière le long du cou. Des scientifiques pensent qu'il pourrait s'agir de plésiosaures:ces reptiles marins de la préhistoire.Cependant des élements s'opposent à la thèse du reptile:la ponte des oeufs sur la berge etla température de l'eau qui est trop froide pour un reptile. En 1965, Bernard Heuvelmans a émis l'hypothèse que le monstre du Loch Ness serait une espèce inconnue de pinnipède, une sorte d'otarie à long cou, dont il a tracé le portrait-robot dans son ouvrage sur le Grand-Serpent-de-Mer, et qu'il a nommée Megalotaria longicollis.Cette thèse est celle la plus retenue par les cryptozoologues.Cependant la thèse de l'otarie à long cou n'explique pas tout.Comment l'animal fait il pour se nourrir?La meilleur explication serait que le monstre se nourisse de saumons. En effet,on a remarqué que les apparitions de nessie ont eu lieu à l'embouchure des rivières qui se jettent dans le lac,et ceci à la période de la remontée des saumons .Mais une autre question demeure,pourqoi n'a t-on jammais retrouvé le corps de l'un de ces animaux?Et bien la réponse et simple, c'est à cause des caractéristiques chimiques du Loch Ness.

Pendant que les savants tentent de déterminer l'identité de nessie, les apparitions ne cessent d'augmenter sur les rives du Loch Ness mais aussi ailleurs...En effet beaucoups de persoones pense qu'il y'a des monstres uniquement dans le loch Ness, rien est plus faux puisqu'on signal des animaux similaires dans d'autres lacs d'Ecosse, d'Irlande, d'Islande, de Suède , de Sibérie, de Chine, du Japon, des USA et du Canada, ainsi que de l'hémisphère sud.On remarquera aussi que tous ces lac possède des caractéristiques commun, ce qui nous permèterait d'avancer l'hypothèse que tous les animaux de ces lacs font parti de la même famille.
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MessageSujet: stigmates   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:58

Les stigmates


Les Stigmates sont des manifestation spontanées, des blessures sanglantes sur les mains, les pieds, le front et le dos d'une personne, semblable aux blessures du Christ crucifié. Ceux qui décrivent les stigmates, classent ces expériences par catégorie comme divines ou mystiques. Curatif est habituellement enregistré quelques heures après que les blessures apparaissent. Certains qui souffrent de l'état des stigmates se sentent dans la tristesse, la dépression, la faiblesse, leur corps en douleur physique, avant le saignement. Le sang coule par l'ouvertures des blessures sur le corps pour une quantité de temps inconnue, puis juste disparaissent et guérissent. Les ouvertures peuvent être justes dans une zone du corps, tel que les mains ou des pieds ou dans plusieurs zones du corps en même temps. La personne est presque toujours dans la douleur et le malaise au moment où ceci se produit. Les Stigmates peuvent affecter des femmes aussi bien que les hommes. Le sang peut être d'un type différent que la personne qui a l'expérience.
Le premier Stigmatisés a été enregistré en 1222. Son nom était Stephen Langton de Cantorbéry, Angleterre. Saint François d'Assises en 1224 Saint François d'Assis a eu une vision. Il a formé un confrérie dans la ville de Degli Angeli de Maria près d'Assises. Tout en priant en dehors d'une caverne, lors de son quarantième jour de retraite il a reçu les stigmates. Des ongles sont apparus dans ses blessures.
En 1275 une nonne nommée Elizabeth a dit qu'elle était témoin de la crucifixion du Christ. Elle a développé les stigmates sur son front dit pour être provoqué par la couronne d'épines du Christ.
En termes les plus simples, l'église procède avec prudence. Les miracles peuvent prendre différente forme d'apparitions ( statues pleureuses ou personnes avec des stigmates). La raison pour laquelle l'église est si prudente quand elle en vient aux miracles, c'est parce qu'elle ne veut pas céder son autorité dans les sujets religieux. Il y a une autre raison, elle considère que l'interposition divine directe dans les affaires des hommes sont extrêmement rare. L'église n'est pas rapide pour déclarer un miracle ; parce qu'elle se rend compte que sa crédibilité est en jeu. Souvent la première étape est juste d'attendre et voir si les choses une fois clarifiées obtiennent des explications raisonnables. L'action avec prudence, signifie l'attente pour être sûre que toutes les explications normales et possibles sont épuisées avant de déclarer un miracle. L'église n'installe pas une commission pour étudier chaque miracle potentiel enregistré, il y a trop d'exemples enregistrés. Quand un miracle est enregistré, l'évêque du diocèse dans lequel il s'est produit a la priorité d'en étudiant la matière s'il le considère digne de la recherche. Dans le cas du stigmatisé les investigations sont tout à fait prolongées dans l'espoir d'éliminer des causes possibles comme : origines diaboliques, maladie mentale, hystérie, suggestion individu-hypnotique et conditions nerveuses qui peuvent faire rougir la peau et même la fendre. Déclarant les stigmates comme un miracle, peut prendre des années d'autant plus que l'église n'a jamais authentifié un stigmatisé tandis que lui ou elle est encore vivante. Le raisonnement étant que ce miracle est considéré être donné seulement à ces âmes rares qui ont les vies exemplaires vécues de la vertu, foi et digne de suivre. Il serait prématuré de déclarer un stigmatisé vivant comme un miracle, parce que tomber de la grâce de Dieu à tout moment avant la mort est toujours risqué. Au XXème siècle l'église a des investigations plus complètes de plus en plus exigeantes sur la vie des stigmatisé. Dans le cas des apparitions, un miracle n'est pas déclaré, jusqu'à ce qu'il y ait eu une enquête suffisante pour estomper la déception, la vanité, la connivence, l'autosuggestion, l'hallucination et l'influence diabolique. Des rapports habituellement détaillés des visionnaires sont pris et l'évidence des centaines de témoins est considérée comme miracle. L'évidence médicale est également prise en considération sur l'état d'esprit des visionnaires et sur le statut précis de tous les traitements miraculeux qui ont pu avoir été réclamés. Des centaines d'apparitions, sont venues à l'intention des autorités catholiques, durant les deux derniers siècles, sept ont été étudiés par les commissions diocésaines, ils ont été approuvés par l'évêque local et ont continué pour gagner une attention internationale.
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MessageSujet: lutins   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 22:59

Les lutins

Certains historiens pensent qu'ils sont arrivés en Cornouailles avec les Phéniciens et qu'ils ont ensuite gagné le Devon et le Somerset. D'autres affirment que les Lutins étaient les premiers habitants de l'Angleterre. Bref, leur origine exacte reste un mystère.
Les lutins logent dans des lutinières souterraines situées sous les collines, les talus, les pierres levées ou les racines des arbres. Les murs sont faits d'une sorte de torchis, composé de glaise, de mousse et d'herbe parfumée. Lutins et lutines y vivent en communauté, passent leurs journées et leurs nuits à danser et à faire la fête.
Lorsque les Fées arrivèrent au temps de la conquête romaine, les Lutins les accueillirent aimablement mais, par la suite, craignant qu'elles ne prennent le pouvoir, ils leur firent la guerre et les forcèrent à quitter leurs trois comtés.
Ils ne sont pas plus gros qu'une main, mais ils peuvent grandir ou rapetisser à volonté. Ils ont les cheveux roux, le nez retroussé, et leurs yeux verts louchent (Un homme roux aux yeux verts et qui louche est, de toute évidence, un Lutin… ;-)). Les hommes et les femmes portent un habit collant, vert vif, excellent camouflage dans les pâturages de l'ouest de l'Angleterre.
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MessageSujet: les hobites   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 23:01

Le monde des hobbits

A l'origine, les Hobbits vivaient dans la Vallée de l'Anduin. Menant une vie discrète, ils ne furent remarqués par les autres peuples que des siècles plus tard. Leur peuple s'est divisé en trois groupes distincts : les Pâles, les Forts et les Pieds-Velus. Pour échapper aux forces du mal tapies dans Mirkwood, en 1610 du Troisième Age, ils émigrèrent vers l'ouest et fondèrent finalement la Comté, où toutes les branches de leur peuple se regroupèrent.
Les Hobbits ont toujours mené une vie paisible et confortable, souvent grâce à la protection du magicien Gandalf et des rôdeurs. Bien qu'ils aiment le confort et se méfient du monde extérieur, ils se révèlent souvent courageux, habiles et relativement insensibles à la peur. D'une grande discrétion, ils sont doués d'une vue excellente et d'une bonne ouïe, ils dépassent rarement quatre-vingt-dix centimètres et ont souvent tendance à l'embonpoint. Il faut avouer que l'habitude de prendre six repas par jour ne favorise pas le rachitisme ! Aimant les vêtements de couleurs vives, ils se passent très bien de chaussures, grâce à leurs pieds à la plante très dure, recouverts d'un poil frisé. Même s'ils préfèrent fonder leurs demeures dans de vastes tunnels ramifiés, appelés smials, il leur arrive de construire en surface quand le terrain le nécessite... Mais jamais sans oublier les notions élémentaires de confort ! Parmi les coutumes très particulières des Hobbits, il faut noter l'habitude de fumer de l'herbe à pipe (manie qu'ils élèvent au rang d'art) et de s'offrir des mathoms, cadeaux complètement inutiles que chacun se refile à la première occasion... Leur visage est jovial, pas spécialement beau, il est large avec des yeux brillants et des joues rouges et leur espérance de vie est bien supérieure à 100 ans. Ils sont physiquement plus proches des humains que ne le sont les elfes ou les nains et d'ailleurs ils parlaient autrefois notre langue car il paraîtrait qu’ils auraient été amis avec des humains qui les auraient trahis ensuite.

Il existe trois espèces distinctes qui sont :
- les pieds velus : Ils sont plus bruns de peau, plus petits, plus courts, ils n’ont pas de barbe et ils préfèrent vivre dans les hautes terres et les collines.
- Les forts : ils sont plus larges, plus lourds, leurs mains et leurs pieds sont plus grands et ils préfèrent vivre sur des terrains plats et au bord des rivières (ils sont les seuls à ne pas avoir peur de l’eau et à savoir nager).
- Les pales : Ils sont plus clairs de peau et de cheveux, ils sont plus grands et plus élancés et ils aiment vivre dans les arbres ou les terrains boisés.
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MessageSujet: sorcieres   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 23:02

La chasse aux sorcières

Au 16ème siècle eu lieu ce que l'on appela la Chasse aux Sorcières. En effet, la sorcellerie était considérée comme le pire péché qui puissent exister.
Pour cette raison, ils créèrent une procédure visant à faire disparaitre toutes les sorcières (et les sorciers).
Débuté au 16ème siècle à Salem au Massachussetts, le massacre se répandit et atteint son apogée dans les Pays-Bas espagnols et en France entre 1560 et1630.
Cette pratique barbare - bruler les prétendues sorcières - dura très longtemps et causa la mort de centaines de personnes.

Au cours des siècles passés, des multitudes de personnes innocentes ont payé de leur vie pour la "sécurité" des villageois un peu partout dans le monde. Pendues, noyées, brûlées, les chasseurs de sorcières ont trouvé mille et une façons de faire souffrir les supposées sorcières vouées au culte de Satan.
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MessageSujet: Salem   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 23:04

Les Sorcières de Salem :

Tout commença avec l'arrivée du révérend Samuel Parris, de sa femme, sa nièce, Abigaïl Williams, de sa fille Elizabeth et de ses deux serviteurs, John Indian et sa femme Tituba en 1692. Les deux filles adoraient la compagnie de Tituba et passaient de longues heures à écouter la servante leur raconter des histoires de son peuple et leur fredonner des chants de son île. Mais à l'insu de son maître, elle montra des tours de magies et à l'aide d'un verre et d'un blanc d'oeuf, boule de crystal improvisée, leur prédisit l'avenir. Ne pouvant garder un secret aussi important, les deux adolescentes le révélèrent aux filles du village.
Tituba rassemblait donc plusieurs fois par semaine Ann Putnam jr, fille du sergent Thomas Putnam, et sa cousine Mary Walcott, Marry Warren, servante chez John Proctor, Mercy Lewis, servante chez Thomas Putnam, Elizabeth Booth et Susannah Shelton, Sarah Churchill, qui était au service du vieux Georges Jacobs et Élizabeth Hubbard, servante chez le docteur Griggs.
Mais aux yeux des puritains, la divination était formellement interdite. On l'associait alors aux forces du Diable et à la trahison de l'Éternel. Ce n'est que lorsqu'Ablaïde vit dans son verre floter un spectre en forme de cercueil que les deux cousines comprirent qu'elles étaient en train de sombrer dans la damnation.
Alors, l'état de santé d'Élizabeth et d'Abigaïde se mit à dériver. Au début, elles avaient des crises de larmes sans raisons, ne pouvaient plus prier et lorsque leur père les grondaient, elles murmuraient des mots incompréhensibles ou émaittaient des sons comme des bêtes. Par la suite, des symptômes encore plus graves apparurent; elles eurent des convulsions, des crises de paralysie, elles suffoquaient, comme si un poids énorme leur écrasait la poitrine, elles hurlaient, couraient à quatre pattes, aboyaient et avaient des visions.
On tenta plusieurs de les questionner pour savoir qui les tourmentait ainsi car d'autres possédées venaient s'ajouter à la liste des victimes,mais personne ne réussit à savoir jusqu'au jour ou Betty (Élizabeth) réussi enfin à dire "Tituba...oh Tituba!". Les autres tourmentées l'accusaient aussi mais il y avait deux autres sorcières: Sarah Good et Sarah Osborne. Ces deux dames avaient déjà une mauvaise réputation alors les accusations portées contre elles agravèrent encore plus leur cas.
Lors de leur procès, ces deux dernières nièrent totalement un lien possible avec Satan, mais le magistra et le public ne furent pas dupes et on les envoya toutes les deux à la prison d'Ipswich jusqu'à leur procès.
Quand vint l'interrogation de Tituba, par contre, ce fut une toute autre histoire. Voici un extrait: " Le magistras lui demande: qui touremente ces enfants? ~ Le Diable, pour ce que je sais. ~ Avez vous déjà vu le Diable? ~ Le Diable est venu me trouver et m'a demandé de le servir pendant six ans."
Elle confessa par la suite qu'un grand homme aux cheveux blancs, tout de noir vêtu, lui était apparu à plusieurs reprises. Il lui avait dit qu'il était Dieu, qu'elle devait croire en lui et le servir pendant six années durant et il lui donnerait plein de jolies choses. Il lui avait montré un livre dans lequel elle avait fait une marque avec du sang rouge qui n'était pas le sien. Il y avait beaucoup d'autres marques dans le livre, des rouges et des jaunes, et l'homme lui avait dit qu'il y avait celle de Sarah Good et Sarah Osborne.
Les preuves étaient irréfutable; Tituba avait bel et bien fait un pacte avec le Diable. Par la suite, d'autres tourmenteuses vinrent s'ajouter à la liste: Martha Cory, Rebecca Nurse, Sarah Cloyse,Élizabeth Protcor et une multitude d'autres.
Toutes furent jugées coupables et envoyées au tribunal de Boston pour décider de leur sort. Avant leur procès, toutes les accusées séjournaient à la prison et certaines mourraient, étant donné les conditions pénibles dans la prison: humidité, infestattion de rats, nourriture avariée, etc...
En tout, plus d'une centaine de victimes furent pendues. Plusieurs années plus tard, les autorités reconnurent leur tort et s'excusèrent auprès des familles et amis des victimes. Mais ce fut au Révérand Samuel Parris qu'on en voulu le plus. On l'accusait d'avoir engendré tous ces malheureux événements et il se retira de la communauté religieuse.
Un nouveau prêtre vint le remplacer et il tentait , avec toute la joie qu'il avait, de faire oublier aux gens de Salem cette tuerie de victimes. Avec le temps, ils finirent par oublier le tort que ces procès avaient causés et recommencèrent à vivre normalement.
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MessageSujet: le triangle des bermudes   mythes et légendes I_icon_minitimeVen 20 Fév - 23:06

Les mysteres


Le triangle des bermudes


Des centaines, peut-être des milliers de navires et d'avions auraient disparu dans la région de l'Atlantique que l'on ne désigne plus aujourd'hui que sous le nom de "Triangle des Bermudes".

On ne compte plus le nombre de livres, de films ou de documentaires qui traitent du mystère du Triangle des Bermudes. Dans cette zone de l'Atlantique qui aurait plus ou moins la forme d'un triangle reliant les Bermudes, Porto Rico et la côte de Floride, avions et bateaux disparaîtraient sans laisser de traces. Beaucoup croient que des forces mystérieuses sont à l'origine de ces disparitions. Base de Fort Lauterdale, en Floride. C'est là que les cinq bombardiers de l'escadrille 19 ont décolé vers leur terrible destin. La mauvaise réputation des Bermudes ne date pas d'aujourd'hui. C'est Juan de Bermudez qui découvrit ces trois cents îles minuscules en 1515. Le climat était agréable, il y avait de l'eau potable et de la nourriture en abondance. La position était idéale pour en faire un refuge ou une base d'approvisionnement. Pourtant, malgré tous ces avantages évidents, les Européens les dédaignèrent pendant près d'un siècle. Les marins de la reine Elisabeth les évitaient même délibérément. Ils les disaient hantées par les démons.

L'histoire moderne du Triangle des Bermudes commence avec la disparition du Pickering, un bateau américain, vers 1800. En 1854, on perd la trace du Bella un navire britannique qui faisait voile vers la Jamaïque.

Le cyclopes, charbonnier disparu en 1918 avec 300 marins.
Puis la fréquence des disparitions s'accélère :
En l866, le Lotta un trois-mâts suédois.
Deux ans plus tard, le Viego, un navire marchand espagnol.
En 1880, l'Atalanta, un navire-école britannique avec ses 290 élèves officiers et tout son équipage.
En 1884, le Miramon, une goélette italienne.
On peut citer aussi:
En 1972, la Mary Celeste, bien qu'elle n'ait pas été retrouvée dans le Triangle, mais entre les Açores et Gibraltar.
En1902 le trois-mâts allemand la Freya subit, semble-t-il, un sort semblable à celui de la Mary Celeste. Abandonné par son équipage, il errait à la dérive. Des dégâts laissèrent supposer qu'il avait été pris dans une violente tempête. Pourtant, rien de la sorte n'avait été signalé dans la région.
En 1918, c'était le tour du Cyclops, un navire charbonnier de bonne taille. Aucun S.O.S. n'avait été envoyé. Pourtant, il y avait une radio à bord.
Mais il y a plus étrange encore:
les messages qui restent indéchiffrables. Comment comprendre, en effet, le message suivant envoyé en 1925 par le Raifuku Maru un cargo japonais :
" Danger like dagger now. Corne quick ! (Danger poignard. Au secours. Vite !) ? Qu'a voulu dire l'opérateur radio ?
Treize ans plus tard:
En 1938, le vapeur l'Anglo Australien signala : " Temps idéal. Tout va bien ", avant de pénétrer dans la zone fatale. On ne l'a jamais revu.


C'est en 1945, avec la disparition de cinq bombardiers américains, que cette région de l'Atlantique Nord acquit une réputation internationale. Quelques années plus tard, l'écrivain Vincent Gaddis inventait le terme "Triangle des Bermudes". On lui connaît aussi d'autres noms : le "Triangle du Diable" ou "Limbo of the Lost" cles Limbes des perdus. Les avions, eux aussi, disparaissent... Le Star Tiger était un appareil britannique qui assurait la liaison Açores-Bermudes. Il disparut un jour de janvier 1948, après avoir envoyé le message suivant : "Conditions météo excellentes. Arriverons à l'heure prévue. Au cours de cette même année, en décembre 1948, un Doublas DC 3 disparut entre Porto Rico et la Floride. Le pilote aurait transmis les informations suivantes : " Nous approchons de l'aéroport... Nous ne sommes plus qu'à 80 km au sud... Nous apercevons les lumières de Miami... Tout va bien. Attendons les instructions pour l'atterrissage. La tour de contrôle de Miami répondit en vain. On ne retrouva jamais le DC 3, bien qu'il eût disparu près des côtes, là où la profondeur de l'eau n'atteint pas plus de 6 mètres.

En juin 1950, par une mer calme, un cargo costaricain disparut avec son équipage de 28 hommes. "Que s'est-il passé ? " demande Adi Kent Thomas Jeffrey. Personne n'en a la moindre idée. Le mystère s'épaissit lorsque le professeur Wayne Meshejian déclara que le satellite météorologique de la National Océanographique Administration tombait systématiquement en panne chaque fois qu'il passait au-dessus du Triangle des Bermudes : "Une force que nous ne connaissons pas, précisa-t-il, empêche le passage des informations. Richard Winer fait remarquer, en effet, que, dans le Triangle, l'aiguille de la boussole n'indique pas le pôle Nord magnétique mais le pôle Nord réel. Le Triangle des Bermudes est sans nul doute un endroit mystérieux. Des centaines d'avions et de bateaux pourraient avoir inexplicablement disparu sans laisser de traces et sans envoyer de message de détresse.

Entre 1950 et 1954, neuf cargos auraient disparu dans cette zone mystérieuse. Le gouvernement japonais aurait, en 1955, chargé une équipe de savants de résoudre ce mystère. Conclusion : le navire expérimental Kaiyo Maru aurai disparut à son tour. En fait, il ne s'agit pas de neuf cargos, mais de neuf bateaux de pêche, de 62 à 192 t, dont on a perdu la trace entre 1949 et 1953'. Quant au Kaiyo Maru n° 5, il ne disparut pas en 1955. mais en 1952. Il y avait bien des chercheurs à bord, mais ils étudiaient la naissance d'un îlot volcanique. Enfin, les autorités japonaises n'ont jamais interdit l'accès de cette zone... Les tentatives d'explication du mystère du Triangle des Bermudes ne manquent pas : ovnis, certainement la plus populaire mini "trous noirs" ou passages dans d'autres dimensions. Une machine ou une arme inconnue, dernier vestige des prouesses technologiques atlantes, fonctionnerait encore quelque part au fond de la mer et désintégrerait parfois bateaux et avions.
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